MIRMANDE

Dans le duché du Valentinois, dont César Borgia, le fils du pape, et Diane de Poitiers, l’amie d’Henri II, furent un temps les seigneurs, après les évêques de Valence, existe en Drôme un petit village perché, de forme pyramidale, face à la vallée du Rhône et à deux autres pyramides formées par les bouleversements volcaniques de l’autre côté du fleuve, en Ardèche (mot qui regroupe ARD 1174 et CHE 385 derrière la somme 1559 PEI le premier de 246 la mère d’ALA).
Ce qui rapproche Mirmande de la Grande pyramide de Gizeh (G+IZ+EH totalise 988 IHH fille de 218 BS et soeur de 991 quand 2018 BOS/US est mère de 9’199 ITI), c’est que cette dernière est formée par une base carrée (440 coudées de côté) soutenant 4 triangles qui la faisaient haute de 280 coudées (comme 280 BHO le dieu-homme O), le double de 140 ADO, alors que Mirmande avait un logo composé d’un carré (ou un rectangle) divisé en 4 (pour former une croix) et d’un triangle comportant 3 disques (besants).
Cela mettait l’accent sur les nombres 4D (pour le carré), 3C (pour le triangle) et l’O – depuis que le carré de l’arête de la Grande Pyramide était égal à 175200 REVO, une anagramme révolutionnaire de ROUE, la moitié de 350400 CEODOO (une variation du CODE OO, disait le hibou à sa chouette aux grands yeux tout ronds).
C’était l’origine du lien entre le CODE, la ROUE, ce 14 O (qui pèse 5 E), et le ZE.RO (poids 45 DE ou 59 EI, total 405 DOE ou 1949) qui annule les métamorphoses de la LU.NA (poids 045 ODE, total 1251 MEA qui est en case 48 DH – D comme Diane et H comme Henri) dont les phases dessinaient les lettres COD dans le ciel de Mirmande endormie à l’aplomb d’Orion – l’anagramme du Noir O (chassez l’obscurantisme si vous n’avez pas encore compris le mot OBS CUR, pourquoi OBS!). C’était saugrenu, mais là se trouvait l’origine de l’IDEA 9451 de DIA, de son mari Ixion, et de la fin des Temps. Cela tombait bien pour la D.RU.MA (ancien nom de la Drôme) qui totalisait 1845 SDE le fils de 419 DAI anagramme de DIA.

Ce village s’est appelé Mirmanda au XIIe siècle (première mention en 1187), Castrum Mirimandae au XIIIe siècle, Mirimanda et Miremande au XVIe siècle, et enfin Mirmande au XVIIe siècle. Nous jetterons un œil sur le mot mirmanda, qui peut se découper en mir et manda, mir est une racine qui se retrouve dans des mots qui ont un rapport avec la vision, le miroir,  le merveilleux, le prodigieux, l’étonnant (peut-être une raison pour laquelle il signifie paix en russe), et où manda est l’impératif du verbe latin mando, are, qui veut dire donner un mandat, confier, charger de dire. Mais faire dire quoi à « MIR », sinon que c’est un mot à clé, à l’origine du mot mir.or, mais aussi miracle, le miraculus qui a vu le cul de MIRA dans AR.IM 117.912 au total de 1029 AOBI une variation du MOI 1209 ou de 192 la fille de 40 DO ? C’est le Code qui viendra naturellement à notre secours.

MIR 12917 se lit aussi ABIR, anagramme d’ABRI, pour évoquer Rabelais et son S.AB.IR la voie de l’homme abir, au total de 947 IDG le premier de 161 QA (mère de 730 le FR.AN)  … M.IR.OR, j’admire le total 946 IDF, la fille de 209 VI (le fameux ASTRE de la VERITAS) … Miroir j’admire IR 917 du MI.RO.IR au total de 1216 ABQ (qui se réduit à 217 BR le fameux nom), anagramme de BAQ pour faire résonner Al Baqarah, la vache jaune de la 2ème sourate, la sœur de 1213 ABAC/MN, les enfants de 267 le dieu de la fin de la divination, la moitié de 534 ECD une anagramme de CODE… Pour mémoire, Mirmande possède un logo, gravé dans la pierre, formé de 4 carrés et de 3 disques (besants ou tourteaux) formant un triangle inversé.

Mirmande est un territoire de la famille des Adhémar (les seigneurs de Montélimar) qui avait été donné en 1360 aux évêques de Valence par Tassette des Baux, tutrice de son fils Giraud-Adhémar. Les conflits entre évêques et comtes, qu’ils soient de Viennois, de Valentinois, ou de Savoie, étaient alors naturellement nombreux, mais pour des raisons bassement matérielles, aucunement spirituelles.

Mirmande est dans le département de la Drôme, rivière anciennement appelée Druma, retourné en Amur DO pour y voir l’amour de DO 40 la mère de 192 TB et de 195 TE… Je n’ose pas dire amour de D 4 la mort, même si son numéro de département, 26 le dieu de la fin, qui vient dans le nombre pi juste après COPI 3.14 159, était l’envers de 62 le poids du mot m.o.r.t… Nous pouvons préférer l’idée d’Amou Daria, axe principal de migrations entre la Chine et l’Europe centrale qui avait probablement transporté notre Code au fil de l’eau jusqu’à la mer d’Aral, du temps où le fleuve s’appelait OX.US (total 2039 fils de 464 et père de 9’304 le renouveau de COD), et les mots se sont mis à chanter et à danser : aria druma, airadruma, trouvant ainsi un aérodrome facile pour E.T, ou un palindrome – du grec palin (en arrière) et dromos (course) – à l’instar de Sator Arepo Tenet Opera Rotas…”Palin” une anagramme d’alpin donc une montagne difficile d’accès, nécessitant la perception d’astuces pointues, permutations se dressant devant nous comme le pal mis en avant par Horace ou les dieux égyptiens BES ou MIN…

Une pyramide, formée de quatre triangles sur une base carrée, comme à Gizeh, peut être symbolisée par les nombres 3 et 4 (C.D) pour marquer dans la pierre l’idée de cycle et de rotation. Mirmande possède donc, gravé dans la pierre, un logo fait de 4 carrés qui forment une croix (à l’image du Paternoster du carré Sator), une croix suisse, ou de la maison de Savoie, et de trois disques (besants ou tourteaux) posés deux sur un (triangle inversé 21 pour marquer l’envers du MO 120). Les 3 besants peuvent s’apparenter aux 6 des armoiries des Poitiers (comtes de Valentinois) depuis 1125, la famille de Diane de Poitiers (maîtresse de Henri II qui finança l’agrandissement de son château d’ANET – je pense à NET le fils de BIBI fils de 656 et 657 qui totalisent 1313 NN l’envers de 3131 fils de GOD – dans lequel règnent des signes ésotériques, par exemple les 3 croissants de lune). Personne ne connait vraiment l’origine de ce logo, c’est donc une énigme, aussi belle que celle du carré Sator découvert à Rochemaure (à une douzaine de kilomètres de Mirmande, de l’autre côté du Rhône en Ardèche) qui portait, sur sa partie droite, l’inscription suivante, accompagnée d’un signe cabalistique de deux croissants de lune horizontaux, superposés, l’un inversé par rapport à l’autre :

GIROA
VM
BERT
ME FEEIT

C’est traduit a priori par « Je fais tourner l’unité… UMBERT m’a fait », en supposant que la faute d’orthographe feeit au lieu de fecit ne soit pas intentionnelle. Sinon, c’est un jeu de calcul pour F.EE.IT au total de 980 (IHO fils de 216 BQ) une permutation de 908, la fille de 202 UB l’envers du BOU (et de BU 220 moitié de 440 pour revenir à la pyramide), la surface du cercle de rayon R 17 ou le carré de CO.N 30.13…

HI.ST.OR.IA (2016 moitié de 4032 DOCB l’envers du dieu COD)

Pour trouver l’origine des énigmes mirmandaises, un peu d’histoire est nécessaire. Le Valentinois dépendait du marquisat de Provence jusqu’en 1189, puis des comtes d’Albon et du Viennois, qui, finalement, vendront leur seigneurie pour la transformer en province du Dauphiné (capitale anciennement CU.LA.RO 601 permutation de QO 160 et premier de 110 LO, qui traduisait je laboure CVL avant de se retourner pour dire je prie LUC, actuellement GRENOBLE le noble G.RE 7.175 au total de 182 SB, poids de Iesus Christus et permutation de 2018).

Le Valentinois et la famille de Poitiers… Les Poitiers (qui fournirent deux évêques de Valence, Jean de Poitiers 1390-1448, et Louis de Poitiers 1448-1468), furent les Comtes de Valentinois de 1125 à 1419. Au décès du dernier comte, Louis II de Poitiers (1354-1419), le Valentinois revient au Dauphin Charles, fils de Charles VI le Fou, qui deviendra roi de France sous le nom de Charles VII. Indissociable de l’épopée de Jeanne d’Arc, il régnera de 1422 à 1461. Le Valentinois est rattaché à la couronne de France en 1424, la partie qui était sur la rive gauche du Rhône ayant été incorporée au Dauphiné (1423) tandis que la partie située sur la droite, et désignée depuis sous le nom de Vivarais-Valentinois, sera incorporée au Languedoc (1498).

Louis II de Poitiers, dans son testament de 1419, institue le Dauphin Charles comme héritier universel, sous condition d’un don de 50.000 écus d’or pour régler ses dettes, et en lui substituant Amédée, duc de Savoie. Ce dernier, ayant réglé le passif, s’approprie Diois et Valentinois pendant 25 ans. Le dauphin Louis récupère ces terres par le traité de 1445 contre 54.000 écus d’or, et la remise de l’hommage pour Faucigny. Pour obtenir l’annulation de son premier mariage et épouser Anne de Bretagne (veuve de son prédécesseur Charles VIII), Louis XII donne (1498) ces 2 comtés érigés en duchés à César Borgia, bâtard du Pape Alexandre VI qu’il marie à sa cousine Charlotte d’Albret, et qu’il adopte même aux nom et armes de France (mai 1499). Mais cette donation à César Borgia sera révoquée en mai 1504 pour cause de félonie (après la mort d’Alexandre VI en 1503).

Henri II donne en 1548 le titre de duchesse de Valentinois avec l’usufruit de ce duché à Diane de Poitiers, sa favorite, issue de la branche de Saint-Vallier (Drôme) et veuve de Louis de Brézé, comte de Maulévrier (propriétaire du manoir d’Anet). Diane meurt en 1566, le titre revient à la Couronne.

En 1642 Louis XIII cède le Valentinois, érigé en pairie, en dédommagement à Honoré de Grimaldi, protégé de la France, qui avait été dépossédé à Naples et dans le Milanais. La Pairie fut renouvelée (1715) en faveur de Jacques-François Léonor Goyon de Matignon, comte de Thorigny, époux de Louise-Hyppolyte, fille aînée du Prince de Monaco.

Les dauphins d’Albon et du Viennois… A l’origine de la maison de Savoie, il existe un Humbert Ier (né entre 970 et 980, mort entre 1042 et 1048) dont les historiens ne savent pas très bien tracer l’origine. Certains le disent originaire du Viennois, bien que les conflits entre les deux maisons fussent souvent sanglants.

Le premier comte d’Albon à porter le surnom de Dauphin (Guigo Delphinus) était GUIGUES IV (1033-1142) dès 1110, soit 23 ans avant de régner. Il avait épousé Marguerite, la nièce du pape Calixte II (Gui de Bourgogne, sacré pape à Vienne en 1119). Notons la proximité de la première Croisade, prêchée dans la région, et les liens du pouvoir local avec le pape. Notons aussi Gui l’envers d’IUG 9207 fils de 2019 et 2020, et GO 70 le poids de Iesus et le père de 341 l’envers d’OC…

Ensuite vint HUMBERT Ier (1240-1306), auquel succèdera son fils JEAN II (1280-1319) … Il fait construire plusieurs châteaux sur la frontière savoyarde, et il épouse en 1296 Béatrice de Hongrie, fille de Charles Martel d’Anjou et de Naples, roi titulaire de Hongrie. Il meurt le 5 mars 1319.
Pour mémoire, le concile de Vienne eut lieu dans ses terres, entre octobre 1311 et mai 1312. Il avait été convoqué par le pape Clément V (alors siégeant à Avignon) à la demande du roi de France Philippe le Bel qui voulait régler l’avenir de l’Ordre du Temple, trop puissant, trop riche. Le roi s’étant déplacé à Lyon avec son armée, les prélats n’ont pas discuté bien longtemps le bien-fondé de l’abolition de l’Ordre.

GUIGUES VIII (1309-1333) sera en lutte permanente contre son voisin le duc de Savoie. Il épouse en 1323 (à 14 ans) Isabelle de France (1312-1348), qui a 11 ans, fille du roi Philippe V le Long. Il décède lors du siège du château savoyard de la Perrière en 1333, à l’âge de 24 ans.

HUMBERT II (1312-1355)… Fils cadet de Jean II et de Béatrice de Hongrie, il a vingt ans lorsqu’il succède à son frère, et sera le dernier Dauphin. Il n’a pas l’ardeur guerrière de son frère et se range plutôt dans le camp des pacifiques.  Ayant passé sa jeunesse à la cour de Naples où il a pris goût au luxe et aux plaisirs des princes italiens, il entretient, à Beauvoir en Royans, une cour fastueuse, ce qui est original de de ce côté des Alpes. A la différence de ses prédécesseurs, Humbert ne mène plus cette vie itinérante d’un château delphinal à l’autre, et préfère rester à Beauvoir. Curieusement, il vide les caisses de son Trésor pour organiser une vaine croisade en Terre Sainte, on se demande bien pourquoi, quarante ans après le départ des derniers chrétiens de Saint Jean d’Acre (1291). Après la perte de son fils unique André, sans enfant vivant de son mariage avec Marie des Baux, il vend en 1349 sa seigneurie d’Albon et du Dauphiné de Viennois (qui sera appelée Dauphiné tout court) au roi de France (Philippe VI de Valois 1293-1350, le « roi fortuné » ou le « roi trouvé ») pour payer ses dettes, et à condition de ne pas en faire un fief ordinaire. Le roi en fait l’apanage de son petit-fils, le futur Charles V « le Sage » (1338-1380), apanage qui deviendra ensuite celui du fils aîné du roi de France, lequel prendra ainsi le titre de Dauphin de France. HUMBERT II meurt le 22 mai 1355 (fils de 304 COD) un peu brutalement et mystérieusement, à 43 ans (DC), sous l’habit des Jacobins (nom donné autrefois aux dominicains installés, depuis 1258, dans l’hospice de Saint-Jacques-le-Majeur de Paris qui deviendra leur couvent), alors qu’il pensait devenir évêque de Paris, voire pape. Il est inhumé à Paris aux côtés de sa tante Clémence de Hongrie, épouse de Louis X le Hutin.

Sa mort, les détails de son sceau, cette envie de repartir dans une croisade surréaliste, sont autant de mystères qui mériteraient plus d’attention que notre rapide survol qui aurait tendance à vouloir en faire le VM BERT du carré Sator de Rochemaure.  Alors, après ce petit tour historique, quel mandat merveilleux et admirable donner à MIR pour provoquer notre étonnement ?

Le « logo » de 4 carrés (ou 2 carrés et 2 rectangles) formant une croix en forme de +, ou de Savoie, ou une croix de croisé du Christ, et trois cercles disposés en V, triangle pointe en bas, est généralement interprété comme une représentation des « 4 évangiles et la Trinité », parce que le village fut un temps propriété des évêques de Valence. Si tel était le cas, on connaîtrait de nombreux autres exemples, et ces armoiries seraient répertoriées. Or, il n’existe pas trace de ce logo chez les évêques de Valence. Imaginer une combinaison d’une partie des armes du Valentinois et d’une croix de croisé (ou de Savoie) serait plus logique, et historiquement compréhensible. Mais quel en serait l’intérêt ? Tous les seigneurs avaient déjà leurs propres blasons à défendre, ou à promouvoir, ils n’avaient aucune raison d’en imaginer un autre pour un petit village, sauf si le nom même de Mirmande était un symbole.

Une autre option est donc de considérer l’idée d’un code, C.O.D, trois phases de lune (Henri II et Diane de Poitiers ont beaucoup joué avec ces dessins comme avec les nombres 3, 0 ou 14 (fille de 4, nombre 14 qui se réduit à 5), et 4, le CODE du cercle et de la droite, donc l’idée de la quadrature du cercle. Le logo deviendrait alors un « signe », le signe d’un tabou, un secret caché qu’il convenait de rechercher, à l’image de celui qui est gravé sur la pierre nue devant la table de la Cène peint par Da Vinci.

Le carré Sator nous embarque sur le bateau des « Dauphins » dont le premier apparaît en 1110 ALO/LAO (double de 555 EEE, fils de 245 et 246, et frère de 1113 LN ou LAC, le cul de CAL), la moitié de 2220 YBO permutation de 2022 BOY. Pour quelqu’un qui s’appelait Guigo Delphinus, où G.UI.GO 7.209.714 ou 70, totalise 930 ICO l’enfant de 207 UG l’envers de GU le fils de 158 et de PI, ou totalise 286 le dieu-homme de la fin, le double de 143 permutation de 314, la mère de 1289 ABHI… Il avait vu, sous le gui, le mot IUG 9207 fils de 2019 l’an neuf, imposer son joug de la dictature du nombre – un jeu de mot qui sera repris à Lyon (anciennement Lug dunum) par le LONG IUG .., Choisir l’année 1110 ALO/LAO comprendre la voie d’O était manifestement une décision qui coulait de source pour un Age Moyen. C’était le premier des Dauphins, le dernier d’entre eux, Humbert II mourra mystérieusement en 1355 NEE fils de 304 COD et moitié de 2710 l’envers d’ORB ou de RU.

Pourquoi le surnom « dauphin » ? Nous retrouverons une origine du mot dans le latin « delphis », qui dériverait du grec « delphys », la matrice, l’utérus  (le mot joue avec UT 2019, comme le soulignait LU.CI.NA au total de 1290, la déesse de l’enfantement et une anagramme de MOI 1209), ce qui tombe bien pour donner un air aimable à l’omphalos du temple d’Apollon qui se trouvait à Delphes. Pour mémoire, ce temple était dédié à Apollon le vainqueur du serpent python, le No PY.TH 1720 RBO une permutation d’ORB et du nom BR, la voie de 720 GU fils de PI, qui servit tant PYTH agoras transcrit comme roras, tu distilles ou tu mouilles, parce que AG.OR.AS totalise 152 moitié de COD et une variation d’EAU 5120. C’était une sorte de dragon qui faisait la promotion de PY.TH.ON 1733 RCC fils de 394 CID fille de 80 HO, et de 3133 CACC/CNC le fils de 702 GOB/UG (l’envers de GU fils de PI), fille de 153, et de 703 GOC le fils de 154 la fille de 33 CC… Nous voyons bien que 702 et 703 totalisent 1405 ADOE la voie de DOE (somme du ZE.RO), le fils de 316 CQ, la somme de CAC.C, et une variation de COQ…  Bref, c’est une démonstration à la façon de la Pythie, qui, sur son trépied placé dans une fosse oraculaire, était censée fournir les « prophéties » du Code sous forme fumeuse d’hexamètres aussi impossibles à comprendre que le Code pour tous ceux qui veulent le découvrir trop rapidement, en zappant, sans se plonger dans la « grille », et méditer la « matrice » de ce jeu des nombres capable de vous dire une stupidité du genre « la fin des Temps est entre le Verseau et la grande VY, entre 2015 et 2022 », alors qu’il n’y a ni début, ni fin, au Temps, ou « le magicien d’OZ viendra en 2023 retourner le ZOB » ! C’est étrange, les gens veulent toujours ignorer le jeu arithmétique et purement rationnel des nombres, à l’exception de ceux qui concernent leur portefeuille, mais ils croient énormément aux fables les plus mélos des livres dits « sacrés », sans même chercher à imaginer ce qu’elles pourraient vraiment signifier. Personne aujourd’hui ne blâmerait l’idée qu’Horus et les dieux de l’Antiquité ont été inventés par des hommes, que les prophéties sont issues de la bouche de charlatans, et que les horoscopes sont fait pour assister des âmes trop faibles ou trop crédules, mais oser penser, et dire, que les religions du Livre pourraient être des religions du leurre (le lure anglais), ça c’est encore inacceptable, nous sommes toujours dans l’Age du Mil Ieu

NEPTUNE … Le voltigeur IONAS au poids de 55 EE et total de 140 ADO ou de 1540 AEDO la voie d’EDO je révèle nous ramène à l’orque, orca, et au dauphin, un animal du dieu NE.PT.UN.US 5’685 EFHE l’espoir de la fin de l’homme de l’espoir, qui se réduit à 690 FIO je suis élu … Vivement FHE 685 (moitié de 1370 fils de 306, 307, 308) père de 3038 COCH et de 3041 CODA ! Fini, le CHEF politique qui nous gonfle la tête en se prenant pour l’unique homme de l’espoir mais sans comprendre que Neptunus 5685 était la moitié de 11370 ANGO une variation d’ORCA ou ACRO, ou d’AGNO, qui, mis au cœur du P 15 AE la voie de l’espoir, révèlera le mot ECLOGA 5311071, petit poème bucolique!   

Doté d’une matrice de mammifère, le dauphin est donc de la famille des orques (ORCA l’envers d’ACRO) qui, les pêcheurs peuvent en témoigner, ont parfois sauvé, de façon acrobatique, des hommes en train de se noyer, notamment quand leur adversaire commun était la baleine. Par analogie, ils se noient aussi dans notre histoire d’O qui explique, fluctuat nec mergitur, pourquoi une coque de noix en forme de C ne coule pas dans notre EAU 5120 l’espoir du MO, et pourquoi un homme normalement constitué peut y marcher dessus, en toute sécurité, à une unité de 5129 EMI (le fils de 1140 LDO dont le premier est 9199 ITI le fils de 2018 US), ou de 5121 EMA l’envers d’AME et une variation de PX, le signe christique du chi (X) rho (P) depuis Chiron.

L’affaire fut révélée d’une façon inepte par Neptunus et son anagramme Pentunus qui nous avait alertés sur un jeu entre l’unique unus et l’as 118 mère de 550, pour nous laisser imaginer pentas, le CI.NQ (1355 NEE fils de COD 304), au total PE.NT.AS 1592 PIB, à une unité de 0592 une variation d’IEU, et de 1591 PIA le fils de 355 CEE la vie de 55 fils de l’as… Cette voltige acrobatique de l’unité n’était pas sans rappeler celle de IONAS (au total de 140 ADO), qui, de l’EAU 5120 nous avait conduits à 5129 ou à 5121 (EMA malheureusement indigne des dieux pour Virgile car elle ne pouvait pas sourire à sa mère, et sa mère ne pouvait pas lui sourire, ce qui n’aurait pas été le cas de son anagramme 1512 fille de 340 CDO anagramme de COD)…

En vertu du P qui cachait AE, NEPTUNUS s’est métamorphosé en NEA ET UNUS, Nea et l’as, derrière lequel pouvait se sentir la présence d’AENEAS (l’Enée de Virgile)… C’est un indice majeur pour NEA 1351 (la fameuse Neaera dont Aegon était jaloux, voir Virgile Buc 3-3 !), une anagramme de CAP ou CLE 3115 (ce qui nous fut soufflé par le mot CAPELLA, la chèvre, le CAP 622 (EL.LA) mais aussi CLE du PAL ou de l’ALP), mais aussi la mère de 6910 et de 6913 FIN, ce qui tombe bien pour N.EA au total de 64 mère de 315 et l’envers de 460 la mère du BOU. C’est aussi un indice majeur pour ET 519 (anagramme de PI 159 et TE 195) le fils du 109 et père de 2299 YII permutation de BIBI et 2302 ZOB (variation de BUC 2203), et pour UN.US au total de 4031 DOCA une anagramme de CODA et de 1304 NOD (le DON de Poseidon, la fille de 290 et 291), qui se trouve à une unité de 4032 la fille de 906 IOF l’envers de FOI, alors que 4031 est le père de 18’342 la voie de l’homme 342, et de 18’345 SCDE une variation de CODE S… Naturellement, nous espérons toujours faire bref, mais nous devons rajouter que NEA ET UN.US (qui ont bien vu 1’352 moitié de 2’704) totalisent 5901 une autre variation de PI et TE, fils de 1306 NOF une permutation de 3016 COQ et fille de 292 fille de 59 EI le premier de 17 R… Certes, ce résultat de 5’901 se réduit à 906 IOF, l’envers de FOI, qui est la mère de 4029 l’envers de 9’204 IUD (la fille de 2019 – quand IUD et A totalisent 9205 IUE), pour nous rappeler que Neptune ne vivait pas seulement entouré de jolies nanas (NA.NA au total de 262 est la sœur de 259 l’envers d’IEU). Au fond et à la fontaine de l’O, avec ses Nympheas et ses Nereides, c’était un champion du cul d’LN, du calcul mental. Et ça, les hommes ont mis longtemps à le comprendre, se masturbant l’intellect, mais très élégamment, avec la beauté de la musique des mots, quel que soit leur sens profond, il suffisait que ça coule, et la répartie immédiate faisait se pâmer les foules. Evidemment, quand ils ne se comprenaient pas, ils se faisaient la guerre et se mangeaient les uns les autres tant ils s’aimaient, créant des années de malheurs pour les troupeaux. Cela ne servit à rien, jusqu’à ce que l’OR 017 et l’EGO 570 les conduisent à 587 l’espoir de l’homme de la divination, le père de 2606 et 2609 le dieu FOI. Et là, vous ne me croirez pas, mais ils sont partis dans des superstitions qu’ils disaient « sacrées », sans même voir le gag sacra / arcas… Nous sommes au fond de l’O depuis trois mille ans, et nous nous croyons intelligents sans même chercher à relier intel en L et NI pour enfin comprendre le NIL! Rêve IL, IL lusio, le jeu d’IL, mais le ZE.RO au total de 405 (fils de 82 l’homme-dieu) se traduisait CDV en chiffres romains, de quoi faire pivoter la tête du grand DUC qui nous regardait depuis la nuit des Temps avec ses deux yeux ronds comme des OO!

D.EL.PH.IS, au poids de 70 GO (celui qui est entre NEA et AEGON) comme Iesus, totalise 1591 PIA le père de 7’230 (devine 230 ZO, la moitié de 460 la mère du BOU) et le fils de 355 CEE. La coïncidence admirable, étonnante, tombe avec le dernier « Dauphin de Viennois » qui est mort en 1355 A’CEE / NEE (moitié de 2710 l’envers d’ORB) le fils de 304 COD, à l’âge de 43 ans. Est-il mort « naturellement » ? Il est probablement difficile de relancer l’enquête sur Humbert II, dira le FL.IC au poids de 29 BI et au total de 704 GOD, craignant que l’on y trouve la preuve de l’invention de Dieu par des hommes… C’est curieux, mais, comment aurait-on pu laisser un homme, convaincu par le Code, accéder à la fonction d’évêque ou de pape ? Quoi qu’il en soit, Humbert II avait trouvé le meilleur moyen de pérenniser ce que son ancêtre de l’an 1110 (moitié de 2220 permutation de 2022) avait peut-être découvert, en faisant de son fief l’héritage du roi de France pour son fils ainé sous le nom « dauphin », alors que bien d’autres fiefs auraient pu tout autant mériter ce titre. L’Histoire conservera simplement l’incapacité d’Humbert II à gérer son domaine, et la vente pour endettement, mais l’HI.ST.OR.IA 2016 UQ (moitié de 4032 DOC.2) rendra au premier Dauphin sa prophétie d’une nouvelle ère pour 2022, et au dernier sa place sur le carré Sator de Rochemaure, derrière UM-BERT en partie droite.

Le latin écrit aussi D.EL.PH.IN.US, au poids de 103 (variation de NO 130), fils du BO 20 U, et père de 488 et 491 DIA (l’épouse d’Ixion le numéro IXI 9219 fils de 2021), et qui totalise 3604 (double de 1802 SOB l’envers de BOS, la vache de 2018), la fille de 803 HOC l’homme du cycle de la vie (une réduction de 1802), la mère de 16500 (moitié de 33000) et une variation de 3046 COD.F… Il est à noter que 3’604 C.FOD la vie de 604 fille de 129 MI se réduit au total de 607 FOG fils de MI, une image du cycle dans la mesure où 76 moitié de 152 moitié de 304 COD est mère de 365, et 67 moitié de 134 est père de 330 et 333, et du premier 331 le fils de 68…. C’est entre 67 et 68 que les premiers dépassent les enfants…

Le dauphin s’adapte donc parfaitement à notre code acrobatique circulaire, et ce, au moins depuis l’époque où ses représentations marquaient chacun des tours des courses romaines de char. Neptune (Poséidon) n’avait rien à y voir, si ce n’est que son taureau (TO.RO 360)  blanc était le zéro d’un cycle, rond comme un tour de piste, et qu’il fallait bien le rappeler par un animal marin, de la mer d’Homère qui nous a offert HO.M.ER au total de 609 FOI.

Nous allons quitter Humbert avec H.UM au total de 2020 BOU (celui dont l’anus restera célèbre chez les humains), et BE.RT 25.1719 (1744) pour totaliser 3764 la fille de 843 l’homme DC (mort à 43 ans en 1355 fils de 304 COD), le fils de 189 SI, et pour remarquer que B2 et R17 font T19 pour l’addition, et 34 CD pour le produit, mais aussi que BERT est un arrangement numérique de BRAIE, et, encore, que BRT 21719 est une variation de MIR 12917. Le hasard voulut qu’un café BERT (du nom de ses propriétaires) s’installât un jour à Mirmande, encore une belle coïncidence pour vous faire venir dans ce beau village !

MIR 12917 est le premier de 1538 AECH la voie de l’espoir de la vie de l’homme, la fille de 345 CDE anagramme de CODE, qui montre AE.CH au total de 53 EC le père de 0259 OBEI l’envers d’IEU.

MIR 12917 est le père de EGIFO 57’960 j’ai fait avancer (egi) FO 60 la fin de l’O (960 est fille de 212 BAB), l’espoir de la divination du renouveau de la fin du cycle, qui voit 57 et 960 totaliser 1017 AOR la voie d’OR, histoire de saisir le mot M.IR.OR au total de 946 IDF (moitié de 1892 SIB l’envers de BIS le dieu IS) le renouveau de 46, la fille de 209 VI (un ASTRE de vérité !).

C’est admirable, mais que penser de miraculum, un miracle ? Découpé comme le cul de MIRA au poids de 39 CI l’envers d’IC (qui se réduit à 12 qui se réduit à 3, pour un nombre à 4 lettres), et au total de 300 (en chiffres romains CCC codé 333 fils de 67 le premier du Temps T 19) père de 1340 ACDO variation de CODA, double de 670… MIRA 300 est l’envers du C 3, ou d’OC, mais il est aussi lu comme AR.IM 117.912 au total de 1029 (une permutation de 1209 MOI en souvenir d’IN.RI 1092) dont le premier est HUI l’homme de sang neuf  8209, si cher au jour du même nom ? L’astre VI luit dans la veritas qui nous allume MIRA comme une anagramme numérique de M.OI.RA (192), un signe des Moires, du destin.

Anagramme numérique de l’ABRI 12179 (et de ORB T, pour arriver à TO.UR 190.2017 qui totalise 2207 BUG ou YOG l’envers de GOY, soulignant GU l’enfant de PI et GOY la nation biblique des non-juifs), le mot M.IR, au poids de 38 CH, totalise 929 IBI le premier de 158 AEH/PH (mère de 720 GU) et le fils de 205 BOE/UE…
M.IR 929 (IBI, ici) nous signale qu’il est la somme de 1 et 928 (somme de 365 et de son envers 653), pour nous laisser découvrir 1’928 la moitié de 3856 CHEF vie de l’homme EF (fille de 868 ou 4×217 BR). Ce ne sont que des indices pour découvrir l’origine des choses, mais ce jeu se passe IBI, ici chez le premier de 158 la voie de l’espoir de l’homme, le double de 79 GI et la moitié de 316 CQ une variation du COQ (transcrit aussi 31416)…
929 IBI, une variation de 9209 IVI (l’astre de la vérité, premier de 1142 fille de 252 fille de 51- dont le dessin finira en M!)  est la moitié de 1858 SEH, c’est une coïncidence admirable puisque c’est la date inscrite sur le fronton de la nouvelle église de Mirmande, construite parce que l’ancienne église Ste Foy, datée du XIIème siècle, sise au sommet de la pyramide du village, était alors jugée trop pénible d’accès. Comme il est trop pénible, pour certains qui ont peur du y.et.i, de méditer sur la permanence du renouveau I et du choix Y, le livre du YI King… Mais là se trouvent les Calabrais pythagoriciens (établis à Crotone) de l’épitaphe de Virgile, les admirables Calabri, au poids de 45 DE et au total de 305 COE (à une unité de 304 COD), dont le premier est 2011 BOL/UL fils de 459 DEI, qui l’ont ravi (comme le calcul de MIR!) …

MI.RM.AN.DA, au poids de 69 FI la fin du renouveau, une permutation de FOI, totalise l’attachant 1995 TIE le Temps du renouveau de l’espoir, (le fils de 456 DEF et 457 DEG qui totalisent 913 IN) qui s’accroche à MOI 1209 pour exposer la MOI.TIE au total de 3204 CUD (double de 1602 QOB) l’envers de DUC le hibou de la grotte chouette du Pont d’Arc.

Je ne suis pas le premier à jouer avec le COD à Mirmande, j’en veux pour preuve la clef de voûte d’une maison, construite en 1693 QIC, sur laquelle la date fut gravée à l’envers, avant que la pierre en question ne soit posée. Cette voûte est surplombée d’une autre pierre enchâssée dans le mur, non datée, sur laquelle est gravé le logo des 4 carrés et des 3 cercles en V. Le bruit qui court dans le village est que le propriétaire de la maison ne voulait pas payer ses impôts, ou que le maçon n’aurait pas été payé, ce serait donc la marque d’un mécontentement (mais pourquoi perdre son temps à graver, puis installer la clef de voute, sans être payé ?). Pensant que c’est un indice pour le Code, je noterai simplement que 1693, une variation de FIN qui se réduit à 694 FID l’envers de DIF le 3ème Parfait, est le premier de 264 le dieu 64 (moitié de 528 espoir du dieu-homme) qui est la mère de 1198 ATH la voie de 198 TH/AIH (qui se réduit à 199 TI), alors que son envers 3961 est le fils de 891 HIA et le père de 18076 SOGF et SOGI, mais son anagramme 3691, celle qui est gravée, est fille de 824  l’homme-dieu de la mort (double de 412 DM la mère de 1802 SOB l’envers de BOS 2018), et le père de la QIQ 16’916 la voie de la fin d’IQ (916 est mère de 4077 DOGG et du premier 7159 GPI devine PI)…

Si tout cela n’est pas une admirable coïncidence qui nous laisse dans l’étonnement, alors demandons son avis d’oiseau à ALEC 164 (une saumure de poisson, dit le dictionnaire, ou au mot alectoros, le coq de Socrate, ou à la part 1/64 du liant des dieux dans l’œil d’Horus, l’envers de 461 premier de 89 HI et fils de 98 IH) ! Comme 164 s’écrit CLXIV en chiffres romains, une anagramme de CULIX, le moustique du premier poème de Virgile, nous pouvons agacer avec 164 la mère de 735 GCE et 738 devine 38 CH le poids de MIR, et mère du premier 971 IGA l’envers de RI 971…

Mirmanda, avec une autre découpe, fais parler MI.R au total de 146 OF la moitié de 292 BIB et la mère de 670 FGO une permutation de 607 FOG le fils de MI, du premier 839 HCI une anagramme de CHI (le père de RAC ou RN pour faire revivre CHIRON le précepteur des héros), et du carré 21316 BACAF la baie de la fin ! Ainsi le mandat fut-il donné à MIR de trouver HTA 8’191 l’Homme du Temps de la voie (qui se réduit à 199 TI), une permutation d’HIL 8911 et de ST (pour comprendre HI.ST 1908), le premier de 1028 (une variation d’HOMO), cet HTA dont le triangulaire est le 5ème Parfait, pour former le mot AR.IT.HM (1848 fille de 419, 420 et 421 au total de 1260 double de 630), qui fit en son temps la gloire du dieu MITHRA (498 DIH). Et c’est alors que le monde découvrit ARITHM (1848) ET (519) IC (93) au total de 2’460 le dieu 460 père du BOU, le double de 1230 MCO, et la moitié de 4920 DIU l’enfant de 1094 KID. Sur le cycle de l’IDA, sonnez trompettes, car 2’460 est le père de 11’358 et 11’361 qui nous demandent de comprendre 358 CEH la mère du QOC 1603, et 361 CFA (une permutation de COQ et de FN) le père de QOI 1609 la voie de FOI !

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