2. LE MO

La tradition veut que le mot “MOT” vienne du latin MUTTUM qui non seulement fait référence à MOUT la déesse mère d’Egypte, mais nous met sur la piste de la conjonction des opposés en juxtaposant MUT (12.2019 la voie du BUT) et son envers TUM. Rien ne nous empêche d’imaginer que le “mot” soit en fait l’expression du “MO” “T” (le MO 19, né du nom BR 2+17) pour bien nous faire comprendre que le “mot” était un concept de la voie du dieu O (120 ou 1214), évolutif avec le temps T, et avec l’idée que chacun s’en faisait. Nous voyons bien que MO 120 se réduit à 21 puis à 3 C, et que MO 1214 se réduit à 215 -BP l’envers d’EAU – puis 17 R, puis 8 H, ce qui tombe bien pour 1214 qui se lit aussi MAD, qui nous conduira vers le premier Homo qui s’appelait ADAM (US).
Codé, MOT devient la voie du dieu OT (total 031 ou 1431), tout comme MOS la voie du dieu OS (le cycle de la voie de l’homme) était devenu la “tradition” (au total 032 ou 1432). Mais, si T est AI, nous voyons bien le MOT / MOAI comme une permutation de MA IO, la célèbre IO soumise à la question fondamentale: qua est IO, qui est IO? Shakespeare répondra par TO BE (190.25 au total de 215 une permutation d’EAU – le not to be – ou d’EVA l’épouse d’ADAMI – une variation du MOT si AD est O 14 et T est AI) …

Une fois l’alphabet établi, à partir de la droite I et du cercle O, il a bien fallu créer des mots. Ne croyons pas qu’ils se sont créés tout seuls, par habitude, au hasard des rencontres de tribus nomades, mais imaginons plutôt qu’ils soient nés d’une réflexion, d’un processus logique sorti de la tête de leurs inventeurs (quelle que soit la langue puisque la grille de référence était la même pour tout le monde).
Pour simplifier notre explication, nous nous en tiendrons à l’alphabet latin, tout en sachant que le gamma Γ (3^ème lettre) avait été remplacé par la lettre C, pour devenir G (lettre numéro 7) dans l’alphabet de Virgile, ce qui suggère un lien particulier entre G7 et C3, que l’on retrouve dans le mot cognosco, traduit officiellement par j’étudie, mais qui se découpe en COG nosco, je connais COG 307 (et ses anagrammes), le premier de 63 l’envers de 360, et l’envers de 703 le fils de 154 AED (aussi mère de 3685 CFHE anagramme de CHEF, de 706 GOF, et du triangulaire LICE 11935).
Notons que G.AM.MA (au poids de 33 CC et au total de 247 le fils de 49 DI et de 50 EO, le père de 1120 AMO ou LU) nous disait devine AM.MA 7.112.121 (au total de 240 le double de 120 MO/ABO/AU, et l’envers du nombre 42 si cher au voyageur galactique), et traduisait l’envers de 1212117 ABABAR (un ba.ba – total 42 – au cœur de l’Aller 1 et du Retour 17, là où se retrouvera le MO pour créer AMOR), lui qui deviendra symbole Γ du point vernal (anagramme du verlan de notre argot, véhicule AR.GO – total 187 fils de 38 CH – de notre langue au travers du Temps).
Je suis le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie (G. de Nerval, “El De.sd.ic.ha.do” au total de 954 IED l’envers de DEI, fille de 211 BL l’envers d’AMO)… Le Prince du verlan, de l’eau et de l’O …

Tout le monde sait bien que LA ARGO se retourne en O “GRAAL” 07.171.111 au total de 289 BHI le dieu-homme du renouveau, l’envers de HIB ou HIBO / HIU (anagramme d’HUI), qui voit B et HI totaliser 91 IA l’envers du T et le triangulaire de 13 N. Pour couronner le tout, 91 est la mère de 440 (le double de BU ou de YO), du premier 467 (qui est père de 2059 UEI l’envers d’IEU), dont le premier est 3079 COGI être réuni, et le triangulaire 97020 IGOU une anagramme de IUGO je lie et de 9207 IUG le fils de 2019 et de 2020.

Chaque année au printemps (le 25.3 BEC l’envers de CEB moitié de GOD, ou le 3.25 triangulaire de 25 et fils de 66), c’est, dans le ciel des Constellations du zodiaque, le recul du point vernal d’un degré tous les 72 ans (c’est normal pour ZO 230 et DIA 491 au total de 721 – le père de 3202 CUB anagramme de BOUC et l’envers de 2023 BOZ le frère de 2020 BOU – une variation du nom BR 217!), une révolution complète (360°) en 25’920 ans BEIU (la grande année cosmique, donc un mois cosmique de 2’160 ans qui voit passer quatre fois le Phénix, tous les 540 ans). BEIU voit 25 et 920 totaliser 945 IDE le renouveau de DE, la moitié de 1890 SIO, le cœur du langage de l’OISO.
Il est vrai qu’annoncer une durée de 25’940 ans (BEIDO) pour une grande année cosmique (20 ans de plus, 1 degré tous les 72,0556 ans) ne choquerait pas les esprits suffisamment acrobates pour y voir l’envers de 49’520 DI.EU (au total de 569 EFI espoir du 69 – total 74 GD pour GoD –, le père de 2517 BER moitié de 5034 EOCD anagramme de CODE) au poids de 38 CH. Nous sommes bien dans le Code, le latin DE.US (total 2063 UFC,l’envers de 36020 CFOU, le premier de 311 CL – qui est l’envers de 1130 ANO – le premier de 64 !) ayant eu sa part de gloire révélatrice avec 2063 le dieu 063 l’envers de 360… Ceci explique bien pourquoi, pour la foule des individus qui tournent en rond, à chaque passage à l’origine, les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers (Evangile Mathieu, 20.16 anagramme de 2160). Dieu la mort du JEU (9520 l’envers d’OBEI), c’est un jeu de Math ! Il suffit de méditer sur la case 2016 UQ, mère de 9186 ISF et 9189 ISI, et du premier 17519 RET l’envers de TER (trois fois) pour se convaincre de l’entourloupe.

Dans son Evangile, Jean disait (1.1) Au commencement était le verbe (verbum latin, logos grec, le MO code), et le verbe s’est fait CA.RO (Jean 1.14) au total de 201 UA fils de 41 et permutation de MO 120, ou CA.RO au total de 1745 AGDE… M éditons, mes bien chers frères, sur caro et ses anagrammes orca et acro, mais aussi sur uerb (il y a le nom bre U dans l’air dirait l’HE BREU!) et sur LOG 1107 le fils de 242 le dieu 42 dont le premier est 1531 PCA (une anagramme d’ANE, de CAP ou CLE), l’envers de NEA 1351, une nymphe virgilienne (Buc 3-3) connue sous le nom de Neaera (era – le nombre – NEA 1351 mère de 6074 FOGD, et 6077 FOGG, qui sera le premier à faire le tour du monde en ballon en 80 jours avec Jules Verne), et le triangulaire est 29’403 BIDOC l’envers du COD IB ou du COD IU !

Du mot COD 304 (double de 152 AEB la variation d’EAU), né de 34 (double de 17 R et somme de CO.D) et de 43, est sortie l’idée de la multiplication CO.D ou D.CO (pour souligner DCO 430 le double de 215 l’envers d’EAU, la fille de 88 HH) qui offrit au monde le beau 120 (et le Baucent vint aux Templiers, car ces derniers firent bien partie du *jeu” !). L’image du M 12 la voie de Dieu est née, fort probablement de la réunion de IVI qui avait déjà fait la fusion de IV et VI, lesquels, outre les chiffres romains 4 et 6, représentaient non seulement les nombres 920 et 209, mais aussi le fameux astre que l’on retrouve dans le mot VERITAS, anagramme de ASTER VI (ou IV), celui qui sera suivi par les trois rois mages pour atteindre le 2018 US de Iesus Christus, mais aussi le BOU 2020 de leur chemin avec 920 IU le double de 460 la mère du BOU. C’était le IeU de I et U …

C’est ainsi que, contemplant ses 20 doigts, l’homme imagina, au poids de 12 M, le MO 120 la voie du dieu O (qui se lit aussi AU la voie d’U 20), la moitié de 240 (l’envers du nombre 42 de l’auto-stoppeur de la Galaxie), le père de 561 EFA (l’envers de 165 QE fils de 34 CD, et moitié de 330 l’enfant de 67), et de 564 EFD (double de 282 le dieu-homme-dieu la fille de 57 EG) ; et, au poids de 26 le dieu de la fin, le MO 1214 (lu aussi MAD, le fou anglais), le double de 607 FOG la fin du cycle de la divination (fils de 129 MI fils de 26 et de 27) qui nous entoure du brouillard de la confusion, dans cette histoire d’O qui s’entend comme AU, EAU, ou même EO (je vais, en latin)… Or MO 120 est la moitié de 240 l’envers de 42 la mère de 210 moitié de 420 DV, ce qui suggère bien une idée de la rotation… Quant à MO 1214 c’est la mère de 5457 EDEG et de 5460 EDFO l’espoir de 460 la mère du BOU 2020, qui nous rappelle Edfou d’Egypte et son temple d’Horus. En outre, 1’214 se réduit à 215 l’envers d’EAU, puis à 17 R (père de 82 l’homme-dieu et de 85 HE l’homme de l’espoir), puis à 8 H (la mère de 33 et de 36, du premier 19 T, du triangulaire 36, et du carré 64 l’envers de 460 la mère du BOU 2020 et de 2023 BOZ).