Le NEANT

A l’origine de ce jeu de nombres et de mots, nous sommes peut-être bien en S.IC.IL.IA, un mot qui pèse 60 FO et qui totalise 1113 LN ou LAC, le cul de CAL, lu aussi AL C (le 3) pour insister sur l’aspect de cette île triangulaire (auparavant appelée Trinacria) qui ressemble par sa forme à la constellation du Capricorne, cela dit pour faire une analogie avec les deux triangles inversés de l’étoile de David. Mais 1113 LN (à l’origine de la guerre de Troie), se lit aussi comme comprendre 13 N la voie de 3...

Sur l’île de Sicilia se trouvait le trou de sortie des entrailles (ilia en latin) de la Terre, mais aussi, pour notre jeu, des entrailles de SIC 1893 (au poids de 30 CO, il lui manque une unité pour être l’enfant de 431, une variation de 314, et 4 unités pour être celui de 430 DCO). Ce SIC (1893 père de 8579 HEGI j’ai fait avancer l’homme, au total HE.GI de 164, un bel indice pour HE.GI.RA 335 CCE, celui de ecce homo, qui est père de 1492 OIB, de 1495 OIE/ADIE une permutation d’IDEA, et du premier 2251 le dieu BEA, l’envers de PY) nous offre le lien entre 18 S et son fils IC 93 (les deux totalisent 111 AL ou LA), mais aussi la relation SI.C au total de 192 (fille de 40 DO), une variation de MOI 1209, ou de 2019 UT, qui doit nous mettre le doute à l’esprit en permanence.
Ces entrailles de la Terre sortaient évidemment de la bouche d’un volcan, un vulcanus qui se décompose, puisque U (ou V) est BO, en BOULCANUS qui nous parle d’anneau (anus) et de boucle (boulc) que nous pouvons comprendre comme émanant du FEU d’une passion (PA.SS.IO totalise 2059 UEI l’envers d’IEU et le fils de 467 le premier de 91 IA) pour la rotation de l’O et pour l’EAU qui nous coule entre les doigts, et nous noie dans ce jeu d’O que nous ne savons pas voir (O DIEU est une anagramme de VIDEO, je vois!)…

Le volcan de Sicile s’est naturellement appelé AETNA, pour nous suggérer A et NA, l’ANA des anagrammes et autres anacycliques, donc pour se retourner en ANTE A… Et qu’y avait-il avant le A et avant le I (1)? Rien et le zéro …
Mais, puisque Sicilia chantait la gloire du 3 C et de N 13 (AC), rien ne nous empêche d’imaginer un AETNA du C qui nous exploserait à la figure comme la Révélation de nos illusions, nous qui ne voyons pas que nous sommes “RI.IN” (1092), et que rien n’a d’importance sinon IM 912 le renouveau de la voie de Dieu I
De ce point de vue sont alors nées des myriades de superstitions pour tous ceux qui avaient peur, non seulement de la mort, mais aussi d’une vie qui n’aurait pas de sens, sans comprendre que, si elle se déroule inéluctablement entre deux trous, si les idées tournent en rond, on en comprendra le véritable sens à la dernière seconde de sa vie, si l’on a “fait” ou “fait bouger” quelque chose. L’ego (tel que ce mot est entendu communément, non pas le nombre 570) et l’argent n’ont rien à voir là dedans, au coeur du volcan…
L’AETNA du C (la révolution du 3, ou de III qui peut devenir IV ou VI, l’astre de la veritas) nous livre donc, C.AETNA (qui nous dévoile CA et NA pour une noce célèbre de CANA 31131), mais aussi, parce que N est AC, une permutation du mot NEANT.

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