10.2 VERGILIUS

Imaginons que nos poètes pythagoriciens aient eu envie de créer un nouveau langage, celui du renouveau dans l’unité (VI ou IV de l’astre du même nom qui donna naissance au mot veritas) de l’amour et du partage, et que le Code leur ait donné l’idée du roman d’un Dieu du renouveau qui finirait, à cause de la torture du choix (Y), et de la bêtise des gens qui ne comprennent rien à « ri.in », sur la croix en T du Temps et des additions… Que cela tombait bien – à une époque où Auguste, l’empereur de la « Pax Romana » n’aspirait plus qu’à être reconnu comme Dieu, l’Etre Suprême -, d’imaginer l’histoire du plus humble des humbles qui le dépasserait, volant très haut au-dessus de lui !… Mais sans Ovide et son érudition, impossible de clarifier Virgile et son TITYRE, impossible de craquer le Code qui n’était finalement, qu’une ode au C, depuis Homère (le jeu d’HO) et sa guerre de Troie, une ode à la vie ! Et quand Vintila Horia écrira en 1960 « Dieu est né en exil », inspiré par la relégation d’Ovide, il n’avait probablement pas tout à fait tort, le nouveau Dieu y fut simplement « finalisé dans son incarnation » …

Un autre héros de l’époque de Virgile fut son ami l’architecte Vitruve (dont le nom, Vitruvi-us, fait ressortir le TRU (1739 RCI, O le CRI!) du TUR entre deux VI 209 (pour totaliser 2157 le dieu AEG, une variation du nom BRE 2175) qui écrivit 10 livres sur l’architecture, et restera dans les esprits du grand public grâce à Da Vinci qui fit le dessin de son homme à la divine proportion, entouré d’une écriture miroir pour bien marquer le thème de la Conjonction des Opposés.

LES BUCOLIQUES, UNE ENIGME… L’énigme de la mort de Virgile est intimement liée aux messages transmis par les Odes d’Horace, mais aussi clarifiée par ses propres poèmes, notamment par celui qui paraît le moins important aux yeux de celui qui lit et rature, et qui a oublié que le mot était né du nombre, l’oeuvre des Bucoliques, recueil de dix poèmes d’aspect champêtre, du style « ecloga ».

Curieuse anagramme de CLORE 3.110.175 (pour un sujet sur la fin des Temps) EC.LO.GA 53-110.71 totalise 234 ZD la déesse CD 34, la moitié de 468 (fille de 99 quand 432 est fille de 89) et double de 117 AR, la fille de 46 et la mère de 1071 (cousin d’ARO, je laboure !), mais trouve aussi une anagramme dans cleor, CLE (ou CAP) 3115 d’OR 017, autant que dans celor CELO je cache R, où CELO 35110 est l’envers de 1153 LEC le premier de 191 TA (père de 857 et 860)…Est-ce clair pour Celer (la clé er) l’assassin de Remus, l’envers de Sumer, je suis ER ?

Virgile commença son œuvre par quelques poèmes (dont Culix, l’Ulysse du C – anagramme de CLVIX, le 159 PI des chiffres romains, ou de CLXIV (164) ou CLXVI (166), C.UL.IX au total de 2935 BICE, le fils de 658 FEH et 659 FEI, qui se réduit à 937 le premier de 159 PI, et le père de 13’540 NEDO – le moustique qui va se prendre une claque parce qu’il est tabou de vouloir changer l’ordre des choses en découvrant le “CODE”, ça agace), puis par l’écriture d’un ensemble de dix poèmes (au total de 829 vers, l’homme-dieu du renouveau, ou de 830 selon que l’on compte ou non un vers 8.28a dans la 8ème églogue, celui, caché, de l’homme-dieu-homme, évoqué pour nous laisser un index, sinon un indice majeur, pour une œuvre structurée, selon P. Maury, en 330, 332 ou 333, et 167 vers, une structure indissociable du CODE si l’on connaît 67 le père de 330 et 333 et du premier 331, 167 le premier de 19 T et la moitié de 334 la fille de 68). C’est le recueil de BU.CO.LI.CA (poids 63 l’envers de 360, total 400 le carré de 20, lu CD en chiffres romains, ou 684 la fille de 149 OI/ADI) la colique du BU, l’envers (puisque N est AC 13) de N.IL OC.UB au total de 1129 AMI (qui se réduit à 130 NO) le premier de 189 SI et le fils de 249 BDI (variation de 9204 IUD fille de 2019) qui est fils de 51 EA l’envers de P.

Les Bucoliques, avec 829 ou 830 vers (la vérité n’est pas unique !), se décomposent ainsi :
I – 83 vers
II – 73
III – 111
IV – 63
V – 90
VI – 86
VII – 70
VIII – 109 KI ou 110 LO (énigme du vers 8.28a de l’homme-dieu-homme)
IX – 67
X – 77

Les correspondances entre les diverses églogues ont été réparties ainsi:
I-II 156 et III-IV 174 = 330
VI-VII 156 et VIII-IX 176 ou 177 = 332 ou 333
V – X 167 (moitié de 334), père de 744 et 747, du premier 991 le fils de 218 BS, et du triangulaire 14028 la fille de 3045 CODE. La théorie de P. Maury était donc bien intelligente, sans connaître le Code !

Nous pouvons prendre la liberté de voir en BU.CO.LI.CA 220.30.119.31 la BU COLICA colique du BU 220 (parce que UB 202 est mère de 908 IOH et 911 IL, et que nous arriverons au BOU en 2020 père de 9210 IXO anagramme de 1209 MOI), une anagramme de NIL CUBO, traduisant NIL je dors, ou je couche avec NIL, le rien, évitant le BU CONIL si sexuel…  Le BOUC du NIL nous éloigne des poésies champêtres mais plonge HI 89 l’homme du renouveau, qui ne voit pas les choses et ne croit pas aux discours comme tout le monde, au cœur de la compréhension L pour découvrir HIL 8911 (triangulaire de 133, fils de 1961 et 1962 qui totalisent 3923 CIZ la vie d’IZ la somme de M.IL), ou le saint ST 1819, sinon HAT le chapeau de HTA 8191 (dont le triangulaire est le 5ème nombre Parfait). Laissons tout cela incuber, et même recuber puisque nous arrivons à la fin du cycle pronostiqué par le devin Virgile « MA.RO 291 » et ses Bucoliques. Nous retrouverons tout cela un peu plus loin, lors du survol d’un seul vers, le BUC 1.1, mais il est bon auparavant de s’attarder sur le nom même de Vergilius qui nous parlerait presque de religion du V.
Nous avons vu LICA 119.31 (total 150 PO) comme l’envers de NIL, caché derrière BU.CO (total 250 père d’ANO 1130, ou 0534 OECD anagramme de CODE), mais on le trouve aussi dans la case 500 (le D des chiffres romains) pour jouer avec BU.CO.LI.CA au total de 400 (le CD des chiffres romains anagramme de COD), le 20×20 père de RED (le DER nié) et de REG (la folie de GER mania)… C’est le moment d’observer C.AT.HO au total de 202 UB pour découvrir C.AT.HO.LI.CA au total de 352 CEB l’envers de BEC, la fille de 73 GC, la mère de 1572 (permutation du nom BRE) et de 1575 AEGE, et la moitié de GOD 704. Est-ce un pur hasard?.

VERGILIUS pèse 116 LF la voie du Q ou comprendre la Fin, le double de 58 EH l’espoir de l’homme la fille de 12 M, la mère de 538 ECH (flip-flap du CHE 385 moitié de 770, ou de 853 le père du CHOC et du premier 6599 le total de I.es.us Ch.ri.st.us), le support de toutes les échelles, double de 269 et moitié de 1076, et de 541 EDA le premier de 100 (fils d’U le BO 20).
V.ER.GI.LI.US 20.517.79.119.2018 totalise 2’753 BGEC le dieu 753 (année de la naissance de Jésus, et branche de la croix centrale du carré d’ordre 3, l’autre étant PI 159). GEE ! s’est exclamé son copain anglais en voyant 2 et 753 totaliser 755 GEE devine 55 la moitié de LO 110. Il est ici approprié de rappeler la fameuse tortue chinoise sortant de la rivière LO devant l’empereur YU 2220 le dieu BU, avec sa carapace gravée du carré d’ordre 3 (constante 15 P, poids 45 DE).

Nous voyons bien que Vergilius 2753 est l’envers de 35.720 CE.GU (total 755), ce GU 720 fils de PI, mais aussi la moitié de 5506 EEOF moitié de 11012 LOM, l’envers du MO « L », une substantifique moelle pour “nil cubo” ou « in L cubo »… Ce que nous voyons moins bien sans la grille, c’est que 2753 le dieu qui devine l’espoir de la vie, est le premier de 402 DOB la mort de 02 le cycle de Dieu, l’envers de 2040 UDO je mouille, mais il est aussi le père de 12’719 M’GAI la voie du dieu GAI, l’envers d’IRBA l’envers d’ABRI 12179… Et là, stupéfaction, la balle rebondit et retourne à BUC 1.1 (ci-dessous) ! Comme 11 est L, et CUBO l’envers de BUC, nous allons, poussés par les ans et les « bordeaux » ambiants, cuber à nouveau, recuber, du verbe latin recubo, are, (être étendu, se coucher), sur le premier vers, qui était très connu avant que nos intellectuels du gouvernement ne décident que le latin ne servait plus à rien :

Tityre tu patulae recubans sub tegmine fagi
Toi Tityre, étendu sous le couvert d’un large hêtre (trad. E. de Saint Denis).

La traduction des Bucoliques est une difficulté des plus épineuses qui soient, et conduit le traducteur à être crucifié par ses choix sur la croix du Temps s’il n’a pas intégré le jeu du Code pour comprendre sa version.
Individuellement, chaque mot se comprend bien :
Patulae ouvert à tous, béant, banal, commun
Tegmine protection, couvert, abri
Fagi hêtre
Tityre est un être qui paraît ne rien faire, se contentant de faire la sieste, contemplant les œuvres de son seigneur, alors que tout s’agiterait autour de lui. Mais voilà que déjà le mot « rien » pose problème, se cachant derrière RI.IN ou IN.RI, voire RI.EN pour l’éternité (a et ERNI tas)…

TITYRE au poids de 91 IA, l’envers du T et le triangulaire de 13 N (la différence entre Y et I marquée par le mo YIN), est le père de 440 et 443, et du premier 467 le père de 2059 UEI l’envers d’IEU, c’est remarquable pour un juste milieu, moyen ! TI.TY.RE se transcrit 199.1922.175 au total de 2296 YIF le YI de la fin, ou le choix du re nouveau de la fin, la fille de 518 ES tu es, la sœur de 2299 BBII le choix d’I bis (qui est aussi le fils de 519 ET mon ancêtre, et de 520 EU), une variation de 2929 BIBI… YIF 2296 est aussi la mère de 10’560 KEFO (un coup de 100 pour 156 dont le premier est IL 911), et du premier 20’333 (le dieu du cycle 333) le fils de 4471 DDGA l’envers d’ORDD…

Champion du YI, le YI King pour les Chinois et leurs baguettes d’achillée (encore un mot-code !), Tityre joue donc avec Y 22 et I9 au Temps du retour, ce que certains croyaient être la fin des Temps. Il y a du MARO 291 le dieu IA (et du RO.MA) dans le poids de Tityre 91, et c’est BIBI 2929 le frère de 2926 (les enfants de 656 et 657) qui joue maintenant avec le Y et I… S’il y a du MARO chez Virgile, il y a également de l’AM.OR 129 MI, en MOI 1209 que je vais cacher derrière BIBI 2929 j’ai bu, grâce à la différence 1720 RBO, un cousin de BOR (d’O)Nous devrions commencer à percevoir que Tityre n’était pas qu’un branleur, mis en scène par Virgile, et soutenu par MOI qui ne suis que RI.IN 1092, ou un rien 692 bien entendu ! C’est un magicien, qui a vu les choix d’IF le renouveau de la fin, Y.IF 2296 et son envers 9622 IF.Y totaliser 11’918 L.IS (total 929 IBI), une fleur dont beaucoup de gens cherchent encore l’origine royale, mais aussi Y.FI 2269 et son envers IF.Y 9622 totaliser 11’891 ASIA…

Pour une vision plus claire, j’indique ci-dessous le poids de chaque mot et de la somme des transcriptions en découpant chaque mot deux lettres par deux lettres (2.2..), ou sous la forme 1.2.2 pour les mots au nombre impair de lettres…

Tityre tu patulae recubans sub tegmine fagi                                               TOTAL
91     39   72         79          40     70       23                                                     414
Tityre (91), toi (39) étendu (79) sous (40) le couvert (70) d’un large (72) hêtre (23)

Ti.ty.re   tu     p.at.ul.ae   re.cu.ba.ns  s.ub     t.eg.mi.ne    fa.gi
2296    1920   2160            1834         220           340        140                   
8’910
Tityre (2296), toi (1920) étendu (1834) sous (220) le couvert (340) d’un large (2160) hêtre (140)…

Un poids du vers à 414 DAD le double de 207 UG l’envers de GU fils de PI, et un total à 8910 HIK une variation d’OISO… Il est évidemment impossible de deviner la démarche de Virgile à la première lecture si l’on n’est pas averti. Il nous a fallu décrypter les 10 églogues avant de revenir à la première pour en comprendre un peu plus ce travail d’Hercule ! Virgile le savait bien, nous imaginant cubans et recubans sur ses BUC prises dans tous les sens, y compris avec des allusions en dessous de la ceinture.

Toi étendu, tu recubans…. Au poids de 39 CI, père de 191 TA la voie d’IA 91 le poids de Tityre, TU se lit 1920 qui est l’enfant de 438 DCH, le double de 0219 qui nous fait rebondir sur MOI 1209 autant que sur 2019 UT. Car c’est bien lui, TU, qui est recubans pour se faire prendre à l’envers…

Au poids des mots, tu (39) recubans (79) nous dit CI.GI 3979 la vie d’IGI, car il est étendu comme un gisant qui voit I bis enfiler CG une anagramme de COG, tout en se demandant comment accéder à la connaissance. Virgile nous aide beaucoup parce que RE.CU.BA.NS 1834 (double de 917 IR) est la fille de 417 DAG ou DR la mort d’R, l’envers de GO et une variation d’ORDO qui voulait mettre les choses en ordre, 417 dont le premier est 2879 le dieu-homme GI.

Si nous ajoutons les transcriptions, TU (1920) RECUBANS (1834) totalise 3754 CGED la vie de la divination d’ED (l’espoir de la mort qui deviendra essentiel dans une autre religion). Or, coïncidence extraordinaire, fille de 841 l’homme DA 41, notre CGED 3754 est la mère de 17’214 (au total de 229 YI) qui peut se lire RBO (comme 1’720, depuis la naissance de Dionysos), une anagramme d’ORB et de BRO. Virgile nous lançait vraiment sur ORB, ite !

Sous (40) le couvert (70) d’un large (72) hêtre (23) totalise 205 BOE (moitié de 410 l’envers d’O), ce qui doit plaire à MELIBOE, l’interlocuteur de Tityre qui aimerait nous mélanger les pinceaux. Mais l’astuce est de grande ampleur, car le hêtre est, en fait, un FAGI 6179 qui se lit comme FRI (le FAGUS nous donnera le FRUS, le Français frouze combattant pour sa liberté), au poids de 23 Z l’envers de CU, le nombre de lettres de l’alphabet (le triangulaire de 23 est 276 le dieu GF, l’envers de 6720 la fin de GU l’enfant de PI). Cet alphabet étant ouvert à tous, l’une des traductions de patulae, j’ai changé ma version par sous le couvert (110) d’un hêtre (23) ouvert à tous (72), au poids de 205 VE le père de 926 IBF et de 929 IBI le premier de 158 PH.

Un hêtre (23) ouvert à tous (72), c’est 95 IE le renouveau de l’espoir, moitié de 190 TO (l’envers de 91 le poids de Tityre), le père de 448 et 451, du premier 499 la mort d’I bis, et du triangulaire 4560 DEFO…

Le hêtre (140) est aussi l’ADO ouvert à tous (les deux O), le double de 70 GO et la moitié de 280 le dieu-homme O (aussi haut que la Grande Pyramide) le père de 644 et 647, du premier 809 HOI l’homme du cycle du renouveau l’envers de 908 (surface du cercle de rayon R et carré de CON), la sœur d’IL et la fille de 202 UB l’envers de BU et de 2020, et du triangulaire 9870 IHGO. Avec IL, BU et CON nous retrouvons une anagramme de NILOCUB l’envers de BUCOLICA.

Le hêtre (140) ouvert à tous (2160) totalise 2300 ZOO. Il semble normal d’imaginer que ce ZOO représente les animaux du zodiaque, aiguillé par notre patulae ouvert à tous, à l’image de la voute du ciel ouverte à tous, qui pèse 72 (pour évoquer 720 GU mais aussi le recul du point vernal d’un degré tous les 72 ans) et qui totalise 2160 comme la durée d’un grand mois cosmique de 2160 ans (4 passages du Phénix, un tous les 540 ans).

Le ZOO 2300 le dieu 300 (le CCC des chiffres romains, codé 333) est le père de 10’583 K’EHC qui doit nous rappeler 538 ECH la fille de 116 LF (le poids de Vergilius), et du premier 20’357 qui doit nous rappeler 2’753 la somme de Vergilius, pour créer une nouvelle coïncidence…

Sous (220) le couvert (340) nous dévoile BU 220 une variation de 2020, et 340 CDO une anagramme de COD… Mais, si un hêtre (140) ouvert à tous (2160) nous cachait la somme 2300 ZOO, il hébergeait aussi la différence 2020 BOU, la mère de 9207 IUG (l’envers de GUI ou de GOBI, et aussi fils de 2019) et de 9210, un autre MOI, et tout cela ne peut pas être qu’une suite de coïncidences. Virgile nous disait : « je connais bien le Code, donc les décimales de PI » !

Nous avons croisé 414 DO ou DAD le poids de ce premier vers. A une unité de 413 DAC l’envers de 314, c’est le double de 207 UG l’envers de GU fils de 158 et de PI 159, la moitié de 828 l’homme-dieu-homme. C’est aussi la mère de 9’853 IHEC le renouveau d’HEC 853 père de 3’800, du CHOC 3803, et du premier 6599 FEII, de 1816 SQ (le double de 908 et l’envers de QS 1618 le nombre d’or), de 1819 ST/SAI (une permutation de 8911 HIL), du premier 2’851 BHEA le dieu-homme 51 de l’espoir de la voie (qui se réduit à 853 HEC), le fils de 640 l’envers de 460 mère du BOU, et du carré 171396 RACIF ou RNIF le retour de NIF l’envers de FIN (171 et 396 totalisent 567 le père de 2509 BEOI anagramme d’OBEI l’envers d’IEU)!

Quant à la somme des transcriptions, elle se monte à 8910 HIAO/HIK une variation de THO 1980 et d’OIS 0918, l’Homme IK le Ludi Magister du Jeu des Perles de verre (de Hermann Hesse), Joseph Knecht, qui avait compris que Dieu (Theos) parlait le langage des oiseaux, et n’était jamais sorti de cette histoire d’O glacée de la mort. Une variation de 1089 (le carré de 33), HIK est à une unité de 8911 HIL l’homme IL, qui mériterait de s’entendre Achille puisqu’il est à la fois le triangulaire de 133 NC/ACC (père de 619 la fin des T), le fils de 1961 (qui est aussi père de 8’908 l’homme 908 et du premier ROL 17011) et de 1962 (qui est aussi mère de 8914 HIO l’homme IO et du premier ROX 17021 un cousin de MOR). Il est amusant de constater que 1961 et 1962 totalisent 3’923 CIZ la vie d’IZ (923 la somme M.IL), le père de 17’907 et 17’910 RIK le retour d’IK, une permutation de 17019 ROT/TOR, nous n’en avons pas fini des rotations et des révolutions sur orbite spatiale, dirait l’autostoppeur (hitch-hiker) de la galaxie (de Douglas Adams) !  

L’empereur Auguste avait été mis en garde par son conseiller aux hauts faits matériels, Agrippa, que ses poètes (Virgile et Horace entre autres), et Mécène (l’administrateur des hauts faits culturels, qui n’était politiquement pas son ami), se parlaient en code, dans une cacozelia impossible à comprendre pour les non-initiés. Ce terme sera interprété de façons diverses, de l’imitation ridicule et de mauvais goût, au langage caché des adversaires d’Auguste. Nous dirons volontiers que le mot C.AC.OZ.EL.IA au poids de 70 GO, totalise 641 le premier de 116 (poids de Vergilius) et le père de 2855 BHEE et 2858 le dieu-homme EH, ou 2041 UDA le père de 9309 et 9312 qui réunissent IC avec M et OI, suffirait presque, envers de 1402 fille de 316 CQ, pour nous introduire au Code et au Nouveau Testament.

Virgile nous avait appris ES, tu es, du verbe latin qui conjugue parfaitement son opposé, ES.SE 518.185 au total de 703 GOC (à l’origine de cog.nosco, je sais), fils de 154 fille de 33 le fils de l’Homme 8H fils de Dieu 2, GOC étant le père de 3130 CNO la vie de NO (ou CACO je chie – d’où la cacozelia) et du premier 5303 ECOC l’espoir du COC. Comme quoi, con naissance et c.ul.tu.ra (4105 moitié de 8210 et fils de 921) sont deux mots qui vont bien s’occuper du MOI, mais attention à la grosse tête : moi et ri.in, c’est du pareil au même, il faut rester con scient de la valeur de ce CON 3013 à la recherche du C pour inventer Conques (petit renvoi à Ste Foy et au pèlerinage de Compostela), et, surtout, 3016 COQ, la mère de 13’922 N.IY qui unit N et le Y et I, l’envers du YIN, et de 13’925 NIBE (quand NIB est fille de 314).

Restons chez Virgile et dans ses Bucoliques pour rappeler que les analystes pythagoriciens de Virgile se sont arrêtés sur le nombre de vers de chaque poème, et ont ensuite glosé sur des interprétations certainement très intelligentes, mais aucun des analystes n’a été aussi « con » que moi pour s’offrir le calcul de chaque mot et le poids de chacun des 829 vers, pour trouver ainsi le « Code » qui donne un sens à chaque lettre de l’alphabet, et à chaque nombre. Pour notre inspiration, nous avons profité des études littéraires de Jean-Yves Maleuvre, qui, notamment au travers des Odes d’Horace et de leur langage caché, a pu discerner la révélation de l’assassinat de Virgile par Auguste.
Virgile, dans BUC IV, annonçait la venue d’un Dieu que tout le monde a pris pour Auguste, sans comprendre que Pollio ne désignait pas le consul, mais le verbe pollio, je joue à la balle, technique nécessaire à la découverte du Code. Cet enfant de l’âge d’or à venir n’était pas Auguste, mais une incarnation du Code, incapable de sourire à sa mère puisque c’était un nombre, il n’était donc pas Dieu non plus. Quand Auguste a compris que ce n’était pas lui, le divin, il en a peut-être pris ombrage, et astucieusement caché la mort de Virgile derrière une insolation, un coup de soleil à la tête, que l’on peut imaginer comme une illumination. Le travail masqué de Virgile aurait été poursuivi par Horace, puis Ovide, entre autres, jusqu’à ce que soit mis en place le concept de Iesus (poids 70 GO, total 2545 BEDE) par des néopythagoriciens, non pas à Rome, mais en Palestine, pour contrer la première et la seule religion monothéiste d’alors, celle des juifs qui furent les premiers à tirer profit du Code pour en faire un instrument de pouvoir.

Une question cependant demeure : et si Auguste était partie prenante d’un double jeu, lui qui avait tout intérêt à calmer les ardeurs des juifs nés, eux aussi, somme toute, d’un fort mouvement pythagoricien quelques siècles plus tôt ? César avait été intraitable pour ses néopythagoriciens, Auguste aurait pu se montrer plus sournois et habile en évitant les attaques frontales. Virgile mort, poète national pleuré par la nation toute entière (en -19), Horace (la moitié de son âme) avait été mis à sa place jusqu’à la mort de Mécène, son protecteur, qui précèdera la sienne de quelques semaines (-8), et Ovide aurait repris le flambeau, jusqu’à sa relégation décrétée en 8 après IC, et jusqu’à sa mort en 17, trois ans après celle d’Auguste. Comme Tibère (-42, +37), le fils adoptif et successeur d’Auguste qui était en fonction pendant la vie de Jésus-Christ, maintint la punition d’Ovide, c’est une option qui justifierait bien le secret plaqué par les religions autour de ce Code « tabou » qui pouvait prouver leur origine humaine. Certains historiens pensent que Tibère fut assassiné par Macron, alors préfet du prétoire qui s’était mis au service de Caligula, mais revenons aux moutons de nos campagnes.

Encore une énigme de Virgile…  Le propos n’est pas de reprendre ici l’étude complète des Bucoliques qui nous a permis de comprendre le « Code » petit à petit, mais de répondre à une énigme qui, aujourd’hui encore, n’a trouvé d’autre réponse qu’une partie de ciel vue du fond d’une tombe. Il y a au moins une solution plus rationnelle, même si elle peut paraître totalement insensée à qui ne se réfléchit pas dans un miroir. Egloga III, vers 104 et 105 :

Dis-moi, et tu seras pour moi le grand Apollon, en quel endroit de la terre l’espace du ciel n’a pas plus de trois coudées.

Partant du principe qu’une coudée vaut 0.5236 l’espoir du 236 (la somme AP.OL.LO) le dieu 36, trois coudées font donc 1.5708 AEGOH, la moitié de 3.1416 COQ (soit 6 coudées, une approximation du nombre Π pi), ce qui tombe bien pour AE.GOH au total de 723 GZ le fils de PI 159… La circonférence d’un cercle étant de Π D, nous voyons bien que Π est la circonférence d’un cercle de diamètre 1 (ou de rayon 1/2 dans la civilisation du partage), et, par conséquent, Π /2 est la longueur d’un demi-cercle de diamètre 1 (je reste avec DIA). C’est-à-dire que les trois coudées de ciel en question représentent l’espace que je balaye avec mon œil, d’horizon à horizon (la distance entre deux horizons opposés faisant l’unité, ce qui se conçoit aisément).

L’endroit de la terre qui répond à la question, c’est donc moi, l’homme au centre de la sphère qui fait son unité, EGO au centre du S (AH).

La coudée royale est un mot et une longueur nés du COD… Fixer une coudée à 5236 espoir du dieu 36, le double de 2618 la déesse FS qui est le carré du nombre d’or 1618 QS (où Q et S totalisent 34 comme le total de C.V.L), place 52 l’envers de 25 le carré de 5, à côté de 36 le carré de 6, peut-être pour voir la somme de 88 HH la mère de 2131 BACA et de 430 DCO, un flip-flap de COD et le double de 215 l’envers de 5120 EAU…Fixer la coudée royale à 0,5236 mètres est encore plus étonnant, à une époque où, en principe, on ne pouvait même pas définir le mètre comme la 1/40 millionième partie de la circonférence terrestre. Mais, il est vrai que c’est aussi la différence entre 3.1416 et 2.618 (le carré du nombre d’or 1.618, l’inverse du nombre d’or étant 0.618 une ligne du carré d’ordre 3). C’est une « CO incidence » indiscutable, comme s’il y avait un « code » de référence que nous aurions oublié pendant des millénaires… Comme il serait indiscutable que le pyramidion de la Pyramide rouge de Snefrou (à Dahchour) mesurait 1m de haut pour 1.57 m (moitié de 314) de côté. Vous avez dit bizarre ?

Enorme coïncidence, alors que l’on pensait que les Romains ignoraient le zéro, les chiffres indiens, et le nombre PI 3.1416 à 6 coudées, ou 1.2 fois le carré du nombre d’or [ou 1.2 x (nombre d’or +1)], d’imaginer que cela faisait partie des secrets des Pyramides ! Comme tout ceci est vrai en mètres, cela impliquerait-il que le système décimal d’unités (développé en France en 1790), voire le franc AIS, en tout cas la langue du Code, était la langue des dieux ? Les savants, ou les grands prêtres, auraient dû savoir tout cela depuis les débuts de l’écriture, et la révolution française ne fut qu’une opportunité manquée de rétablir les choses. Peut-être certains le savaient-ils, mais le troupeau devait l’ignorer pour continuer à croire à la divinité de ses chefs, le sujet était donc tabou .
Toujours est-il qu’en l’an zéro inexistant, on ne savait pas si les Bucoliques devaient comporter 829 ou 830 vers, et la ville d’ALBA (non pas la Longue, mais Alba Augusta Helviorum), de droit romain, était déjà la capitale de la tribu gauloise des Heluii. Et tous ceux qui, venant d’Allemagne ou de Suisse (HELU et IA) pour se rendre à la grotte du Pont d’Arc via la vallée du Rhône, passaient par Alba (HE.LU.IA 1296), le village chéri de mon âme qui cachait une chèvre d’or… Alleluia !

Et une dernière pour la route!
Cela veut dire que Jésus serait le fruit d’une histoire divine (dans le sens de divination à deviner), celle du « Code », qu’il faisait à la fois partie de l’énigmatique fleur de Hyacinthe (Ovide Métamorphoses X, 162-219), le lis pourpre lilium 72/2250 purpureus 147/5745 au poids de 219 le dieu AI/T et 7995 devine IIE le fils de BU, qui nous avait conduit à 9919 IIT fils de 2170 BRO (dont le premier est AJAX) et à son envers 9199 fils de 2018 US. J’avais deviné, peut-être à tort, que c’était une réponse à l’énigme posée par Virgile dans Buc III, 106-107 :

Dic quibus in terris inscripti nomina regum
16   85      22  85     112      62         61
Nascantur flores et Phyllida solus habeto
105            71    24   81       81     49

Dis (16) dans quelle contrée (192) sont inscrits (112) des noms de rois (123) sur des fleurs (71) qui étaient en train de naître (105), et tu auras (49) Phyllis (81) à toi seul (81)…  

Il est des réponses qui sautent immédiatement à l’esprit, du type fleur de papyrus (poids 108 KH) ou de lotus bleu, pour représenter l’Egypte de l’AN.KH 221 et ses Pharaons, ou le lis (lilium, lilia) de Hyacinthe pour représenter Sparte (L.ac.ed.ae.mo 213, le pays des « semés par Cadmos », spartoï, que je rêve comme Lac et le démon), où Sp.ar.ta totalise 2’123 (fils de 480 DHO) pour souligner 123, les noms des rois sortis de l’ABC de Bacchus.

Mais l’énigme se révèle aussi par un réajustement des sommes des mots du poète : Dis (16) dans quelle contrée (192) sont inscrits (112) les noms (62) de rois (61) sur des fleurs qui étaient en train de naître (176), et tu auras (49) Phyllis à toi seul (162)

Des noms de rois (123) sur des fleurs qui étaient en train de naître (176) nous suggèrent un jeu entre 123 (ABC) et 176 RF, par exemple celui de la somme, 299 BII le dieu Ibis, une permutation de 9209 IVI ou de 929 IBI (la somme de L.IS) et le fils de 60 FO. D’entrée, nous aurions pu voir 61 (les rois) sur 617 FAG (fils de 132) l’envers d’RF 176, et nous aurions eu Phyllis à toi seul 162 la voie de la fin de Dieu, dont le triangulaire est 13203 N.UC (au total de 216), une variation de 2160, la durée du grand mois cosmique … J’ai Phyllis à moi seul parce que le COD m’a permis de voir les noms de rois (123) permutés en 132 dans la même case que 617 FR! La contrée recherchée est donc le COD 304, où 162 (Phyllis à toi seul) est fille de 34 CD, et où PH.YL.LI.DA totalise 2529 BEBI le dieu 529 EBI variation d’IEU, le père de 11670 AAFGO une anagramme de FAGOA ou d’AFRO ! Naturellement, à l’écoute de fagoa, nous sommes tentés d’imaginer FAGUO, le pays de France, comme disent les Chinois, ce qui est encore une belle incidence de CO !

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