11. MELENCOLIA e5 I

  1. Melencolia I – Albrecht Dürer (1471-1528)

 C’est une gravure sur cuivre, énigmatique, d’Albrecht Dürer (initiales AD 14 O dans une signature sous forme de table de Pi), datée de 1514 PAD ou PO. Une œuvre au titre en 10 lettres, plus une, 11 L au total, qui exprime le désarroi d’un ange ailé devant la mort du renouveau (49) et l’espoir de Dieu (52) perdu… Nous noterons que 11 L est aussi la mère du premier 31 CA l’envers d’N, du triangulaire 66 FF et du carré 121 MA ou AX… On aurait évidemment tort d’oublier le nombre 10 AO des lettres du mot principal, parce que 10 AO est le père de 221 YA, de 41 DA et 44 DD, du premier 29 BI, du triangulaire 55 EE, et du carré 100 le fils d’U 20.

Alors, 10 ou 11 lettres ? L’important est de voir 1110 ALO dans cette étendue d’eau, ou LAO dans cette aspiration céleste, le père de 4989 DIHI la mort d’IHI, le frère de 1113 LAC ou LN, l’enfant de 244 et de 245 qui totalisent 489 DHI la mort de l’homme du renouveau. C’est ce qui rend le personnage central mélancolique.

Au fond du tableau, une source de lumière sort de la zone noire sous une espèce d’arc-en-ciel bien circulaire. C’est une deuxième source de lumière, l’autre étant le soleil qui, à l’opposé, illumine notamment le personnage principal, ange déçu, sinon déchu. De nombreux experts combattent l’idée d’une relation entre le Soleil noir de la Mélancolie, de G. de Nerval (anagramme de verlan ou vernal), et l’astre rayonnant d’une lumière noire dans la gravure. Personne ne pouvant prouver le contraire, il semble évident qu’une telle idée si poétique et si « vraie » doive être soutenue, ne serait-ce parce que, avec un O à zéro, EL.DE.SD.IC.HA.DO, au poids de 72 devine Dieu totalise 954 IED l’envers de DEI, la fille de 211 BL … Et c’est un air de désillusion sur la fin des Temps avec O 14, poids 86 l’homme de la fin et total 1328 NBH la fille de 297 BIG (père de NBE) à une unité de 296 la fille de 60 la fin de l’O, du cycle

Je suis le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule étoile est morte, – et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
Gérard de Nerval –  El Desdichado

Dans l’air, au-dessus d’un LAC (le cul de cal), en bord d’eau, un vampire calculateur (une chauve-souris, calva saurex 3034 COCD, qui voit la nuit, mais aussi un être surréaliste qui suce le sang de ses victimes, porteur d’une foi dévorante, selon son humeur, un sujet « bat O» pour les anglais) porte une banderole marquée « MELENCOLIA e5 I », la particule e/5 étant un petit « zigouigoui » qui peut se déchiffrer ainsi pour imprimer une marque pythagoricienne au sujet (influence qui s’exprime très bien sans cela), et pour faire une séparation entre Melencolia et I (ce qui a une importance, numériquement parlant). C’est une énigme, la Mélancolie de l’unité 1 ou du neuf 9, ou de l’homme 8 qui a tout son espace entre les deux pour nous faire apparaître Dieu au travers de 189 SI ou 198 TH. I enigma est fameuse pour nous avoir dit : ImagineI esus sum, I je suis consumé, dévoré, usé, je suis le renouveau parvenu à bout de souffle… Notre ange du premier plan aurait-il découvert la véritable origine du Iesus que ses fidèles vampirisent, une ombre du nom BR figure de légende et qui se révèle en 2172 BRB comme un borborygme barbare, fille de 489 DHI la mort d’HI l’homme du renouveau, l’envers de 984 (la fille de 217 BR) pour rendre hommage à 84 ou 70, le poids de Me.le.nc.ol.ia (total 475 DGE moitié de 950 IEO, ou 1875 SGE fils de 427 et moitié de 3750 CGEO) ?

I neuf, i.solé… Au poids de 93 IC, ME.LE.NC.OL.IA (475) + I (9) totalise 484 la mort de 84, le carré de 22 Y, la mère de LEFF 11566, de 2143 BADC le dieu 143 père de 657 FEG., du premier 3’461 CDFA la vie de 461 le premier de 89 et le fils de 98, et du triangulaire 117370 ARCGO qui voit ARC et GO totaliser 1243 ABDC.

I unité, i.solé aussi… Maintenant, au poids de 85 HE l’homme de l’espoir, MELENCOLIA + I  totalise 476 la mort de GF la mère de 2108 XOH l’envers d’HOMO, et de 2111 BAL (des vampires) ou BLA l’envers d’ALBO je blanchis

Le Code est bien ce qui rend notre ange pythagoricien mélancolique, découvrir que Dieu, ce passionné de la mort, ne serait que la mort d’I.EU (9.520 au total de 529), comme il n’était que la mort d’E.US (9.2018 au total 2023) pour le latin. A ne jouer qu’avec la mort, les inventeurs de Dieu nous ont laissé l’opportunité d’en supprimer le joug, à condition de choisir la voie de l’élévation. L’ange comprend que nous sommes dans un monde où, contrairement à ce que l’on avait cru jusqu’à présent, il n’y a malheureusement pas de Dieu, de Messie, d’homme providentiel qui viendrait nous sortir de notre pauvreté spirituelle ou matérielle, en dehors du Jésus onirique et virtuel de la légende. C’est à chacun de nous, Hommes, de se bouger et d’entreprendre pour atteindre la transcendance. C’est à chacun de nous de participer à la création d’un monde meilleur, en adaptant les structures politiques rendues archaïques par l’augmentation du nombre qui ne permet raisonnablement plus l’existence d’un chef unique dans une démocratie. Notre arch-ange du change ne ment pas, Dieu est mort !

Un lac bordé par un groupe d’habitations fait penser au château de Chillon, sur le lac Léman, en Suisse (Dürer aurait fort bien pu venir à Chillon pendant son compagnonnage à Bâle dans les années 1490). Ce château appartint à l’évêque de Sion, sous domination jusqu’en 1536 de la famille de Savoie – également propriétaire de 1455 à 1578 du Saint Suaire de Chambéry (encore une affaire de manipulation des esprits) – avant d’être conquis par les Bernois qui ont, par la même occasion, délivré François Bonnivard (incarcéré six ans, depuis 1530), héros du poème de Lord Byron (un “initié” célèbre) le Prisonnier de Chillon (1816). L’avantage de SI.ON (189.013) est de nous orienter sur 202 UB l’envers de 2020, mais celui de C.HI.LL.ON au total de 1216 MAF est de nous orienter vers son père 267 le dieu de la fin de la divination, qui est également père de 1213 ABAC / MN et du premier 1709 ROI… Quant à B.ON.NI.VA.RD il totalise O529 EBI une permutation d’IEU qui mérite d’impliquer Byron (1788-1824), l’auteur de Childe (994) Harold (435 DCE), au total de 1’359 NEI (à une unité de 1358 fille de 304 COD), écrit pour un hymne à « Ia.nt.he » (ante HI) au total de 1495 ADIE (fils de 335, père de F’GEF et du premier MER), une anagramme d’IDEA dans notre jeu de la désillusion de la Révélation qui correspond si bien à Melencolia I, la mélancolie d’I… Le Code eut une longue vie secrète depuis I.carus, ce cher I !

Nous pouvons distinguer un bâtiment central sur le bord duquel l’ange est assis, une tour carrée symbole de quadrature de cercle, autour de laquelle sont regroupés de nombreux indices :

Une échelle à 7 barreaux, 7 le père de 28 BH le dieu-homme, de 31 CA l’envers d’N (le premier de 11 L), du premier 17 AG/R, du triangulaire 28 le dieu-homme, et du carré 49 DI la mort du 9 (le fils de 11 L). Que fait l’échelle ? Elle nous permet de monter jusqu’au CIEL 28/550, anagramme de I CLE, la clé du I (de Melencolia), et de voir L 11 comme le poids de CH 38, l’équivalence CH-L (3811 est fils de 860 l’homme 60 de la fin de l’O).

Une balance (le latin nous parle d’équi-libre et de LI.BR.A – total 337 fils de 69 et père de 1512 et 1515 – qui est aussi une constellation) pour partager l’égalité de la justice (IUS), surtout devant la mort, avec deux crochets en forme d’S et d’envers d’S qui se rejoignent pour faire une sorte de ω avec fleur de lys au milieu, ou pour voir 18 et 81 totaliser 99 I bis (moitié du divin grec 198 TH).

Un putto, petit angelot bien rond et tout bouclé (en forme de petits C, ou O, les boucles se retrouvent aussi symboliquement sur les statuettes représentant Buddha), grave quelque chose sur une planchette. Il semble ne rien voir (à cause de sa jeunesse ou parce qu’il serait aveugle, ou borgne ?). L’angelot est assis sur une couverture posée sur une roue de meule posée verticalement, montrant clairement l’emplacement de son MOI IEU (modiolus en latin, mot qui désigne également une coupe à boire)… Au poids de 82 l’homme-dieu, MO.DI.OL.US totalise 4692 ou 2198 BTH le dieu TH, (moitié de 4396 DCIF – flip-flap de 4692 à une unité près – fille de 981), la fille de 496 DIF le 3ème parfait… Puisque nous jouons à la balle, je rebondis sur ATH qui nous rendra « athée », mais aussi HTA 8191 qui, avec HTB 8192, donnera le 5ème parfait…

Le polyèdre
Au pied de l’échelle et devant l’angelot, un polyèdre à 8 faces, deux à 3 côtés (triangles), et six à 5 côtés (pentagones). Difficile de ne pas voir une référence à Pythagore et à son amour du nombre 5, CI.NQ au total de 1355 NEE la voie du CEE, le fils de 304 COD.

La figure est assez facile à imaginer à partir d’un cube étiré, tronqué en deux de ses coins opposés. Prenons deux faces contiguës, coupons les 3 arêtes du haut (ou du bas) à mi longueur, et joignons les 3 points ainsi obtenus. Faisons de même pour les deux faces opposées (avec les arêtes inverses, du bas – ou du haut), et nous obtenons le polyèdre, dont le squelette est représenté par le graphe ci-dessous, à 12 sommets et 18 arêtes, faisant ressortir une belle étoile de David.

Ce polyèdre de Dürer est sphérique, dans la mesure où ses sommets sont tous situés à égale distance par rapport à un centre. Partant du carré, insistant même sur le cercle par la présence d’une boule et d’un compas, il n’est pas inconvenant facile d’y voir une allusion à la géométrie, sinon à la quadrature du cercle, et, par conséquent, au Code.

Le visage sur le polyèdre
Sur le solide de Dürer, on peut apercevoir les traits indistincts d’un visage venu de l’au-delà, celui d’un zombie, fantôme de l’illusion que toutes les victimes du blabla, des symboles et des dogmes ont déjà vu. Non, il n’y aura pas de fin des Temps, ni de Jugement dernier, car tout cela est une fable inventée par des hommes pour faire comprendre aux autres la valeur du renouveau tout en conservant l’unité, ce qui aurait dû les conduire à une civilisation de l’amour et du partage. Malheureusement, les hommes ne font pas l’effort de décoller et prendre de la hauteur, ils préfèrent les romans et l’opium des mots, et leurs leaders font tout pour les maintenir dans cet état plus docile, moins REBIL / LIBER. Sinon, il y a longtemps qu’ils auraient abandonné, pour la conduite d’un pays, l’idée d’un Homme de l’espoir et du changement qui soit l’émanation d’un seul parti politique.

Le creuset d’alchimiste
Derrière le polyèdre, à côté des pinces pour le porter, un creuset d’alchimiste portant le feu d’AL.CH.EM.IA, au poids de 50 EO et au total de 752 GEB devine 52 fille de 11, l’envers de 257 le fils de 52. Tout le monde dit que l’alchimie permet de changer le plomb en or. Transformer du PB 152 en 017 OR (somme 15+2 et moitié de 034), c’est d’autant plus facile que 152 est la moitié de 304 COD.

En latin, A.UR.UM au poids de 70 GO (comme Iesus), voit A.UR 2018 et UM 2012 totaliser 4030 DOCO (double de 2015 UAE l’envers d’EAU), l’envers de COD.O.  Notre Code est bien un trésor, et Jésus mérite bien une auréole ! Quant à PL.UM.B.UM au poids de 92 IB le renouveau de Dieu (c’est lourd, mais c’est indissociable du mot L.IB.ER), il totalise 5526 EEBF la vie du dieu 69. la fille de 1231 ABCA, une anagramme d’ABAC et le premier de 202 UB. Pour changer le plomb (92/5526) en or (70/4030), il suffit donc de connaître le Cod et son jeu des permutations, la somme (162 QB / 9556 IEEF) et la différence (22 Y le choix et 1496 OIF (moitié de 2992 BI.IB) une anagramme de FOI, à une unité de 1495 OIE/ADIE une anagramme d’IDEA. Encore une belle coïncidence, il suffit d’y croire, à Y 22 fille de 6 F la fin, mère de 108 KH et de 111 AL ou LA !

Pour tous ceux qui jugent Melencolia apocalyptique, c’est bien le cas dans la mesure où 22 est le nombre de chapitres de l’Apocalypse, et que AP.O.CA.LY.PS.IS totalise 3718 (double de 1859 SEI) l’envers de HRC l’envers de CRH, ou 3704 CGOD la vie de GOD, la fille de 828 l’homme-dieu-homme…

Le marteau retire-clou… Par terre, de l’autre côté du polyèdre par rapport au creuset alchimique, un marteau avec retire-clou, la tête fixée par 5 têtes de clous pour enfoncer le jeu des nombres dans notre tête… Pour la mémoire du clou, le mot latin clueo signifie s’illustrer, avoir un nom, être, exister, clavus est un clou mais aussi un gouvernail, et clavis une clé, un verrou (comme celui de Fragonard). Naturellement, j’y rajoute CLV 155 (fils de 31) en chiffres romains, traduit par 3.1120 la vie de LU/AMO, et je retombe sur LU l’enfant de 247 le fils de 50 EO, qui m’explique pourquoi je m’illustre (clueo) grâce à C3 ! Je rebondis comme une balle, disait Pollio à Virgile, et moi aussi, je fais des liens, tout en rappelant que LIEN, en latin, désigne la rate, le siège de cette fameuse bile mélancolique du Moyen-Age que l’on finira par appeler spleen. Or lien, est à l’envers de NEIL pour rappeler le Nil grec (Neilos), et ce code O, nul objet de notre Histoire d’O.

Le lévrier… Avec une tête qui ressemble à celle d’un mouton, c’est un lévrier (ou une levrette) qui dort, en rond. Son nom vient du lièvre (lepus, oris) dont il est un excellent chasseur, mais ici, dans la gravure, ce n’est pas sa rapidité qui est mise en avant, c’est l’opposé, il dort. Au poids de 69 FI, L.EP.US totalise 2544 BEDD la mère de 11’753 AREC (l’envers de cera, la cire avec laquelle furent confectionnées les ailes d’Icare, mais n’oublions pas le lino !) comprendre 753 GEC l’année de naissance de Jésus et une branche de la croix centrale du carré d’ordre 3. Il est amusant de voir LEPUS 2544 à une unité de 2545 la somme de I.ES.US.

Au poids de 31 CA, sa racine L.EP comprendre EP 515 (cf. PE155 fils de 31) la ville jumelle de DEP, totalise 526 EBF Espoir de 26 le dieu de la fin, un flip-flap de FEU, un nombre 26 que nous retrouvons aussi dans COPI 26 (3.14 159 26). Notons que la racine LEP est aussi dans le mot lepos, leporis, qui signifie grâce, beauté, charme, attrait, élégance.
Ceux qui doutent retrouveront cet animal, associé au numéro 515 (le Cinq-Cent-dix-et-cinq) EP, dans la Divine Comédie de Dante, qui, finalement, avait bien compris la comédie de Dieu. Ils rebondiront aussi sur EPEUS, le constructeur du cheval de Troie, né d’une idée du devin C.AL.CH.AS au total de 270 le dieu GO, l’envers de 720 GU le fils de PH et de PI.

Un objet étrange se trouve entre le lévrier dormant en rond et la sphère (boule). Lampe à huile pour faire de la lumière ? Encrier ? Rose des vents ? Encensoir ? Une base cylindrique contenant une sorte de boule surmontée  instrument d’où sortent 3 ou 4 fils qui font ensuite une corde qui arrive jusqu’à un capuchon décoré d’une rosace… Un truc de magicienne virgiliennne (BUC 8)? Nescio, je ne sais pas ! C’est un peu court, je le confesse, pour un TR.UC 2120 XV permutation de 2021 VX !…

Une sphère… La sphère confirme l’idée de l’O bien rond et de la surface d’eau qui doivent nous conduire au concept du nombre PI. Elle confirme aussi l’idée que nous somme sur la Ter.ra, à 3 rayons, cette planète était sphérique, c’est pour cela que les anciens lui donnèrent ce nom, bien avant que Galilée (1564-1642) soit condamné, en 1616, pour avoir affirmé qu’elle était ronde. C’est peut-être une boule en bois de tourneur, mais, pourquoi pas une boule en pierre, lourde comme un boulet, celui de nos traditions, des dogmes, de nos croyances aveugles et de nos idées préconçues destructrices du renouveau ?

Un sablier… Placé sous un cadran solaire fait d’un arc de cercle marqué de 9h à 17h (I-R), le sablier est naturellement un symbole du temps qui passe, et que l’on subit, sans voir toutes les manipulations dont nous faisons l’objet. Mais ce temps-là sera bientôt révolu, sa fin approche… Une cloche est là pour nous réveiller, et sonner la mort du Christ à 15h, le 15 de la lettre P (triangulaire de 5 E et père de 77 GG et de 80 HO)…

Nous parvenons à la fin de tout ce qui est représenté dans la partie supérieure de la gravure, celle qui est au-dessus de la diagonale 13h-19h (environ 292mm) de la gravure (239×168 mm). Voyons ce qui est en dessous.

Outils à bois et clous… Au sol, devant les pieds de l’ange, des outils de menuisier-charpentier, ce qui est curieux pour un peintre ou un travailleur du cuivre, mais pas pour le père de Jésus, ni pour le chercheur du Code qui doit apprendre à couper les mots pour prendre les lettres deux par deux, multiplier ou diviser les nombres par 2, un rabot pour arrondir les angles, un gabarit à 3 formes, une tenaille aux formes COD bien marquées pour arracher les dents (énigmes).

Au sol toujours, un bout de planche et 4 clous. Par tradition, Jésus est cloué sur la croix avec 3 clous… Le clou CL.AV.US 311.120.2018 totalise 2449 (dieu 449 fils de 93 IC) le père de 11’304 comprendre COD, qui est la mère de 50922 EOIY le vais vers 922 IY, et 50925 EOIBE l’espoir de 0925 une anagramme d’OBEI l’envers d’IEU…

Le clystère… Que fait cet objet en cet endroit ? Du latin clyster, ce fut déjà une seringue à lavement dès le premier siècle après Jésus-Christ. Que le personnage principal soit assis sur une banquette en pierre, probablement percée comme les latrines du château de Chillon, où les excréments s’évacuaient directement dans le lac, c’est une option, mais à la justification plutôt obscure, sinon celle de mettre en avant CA.CO je chie 3130 (à une unité de 3131 CACA ou CNA fils de GOD), le fils de 702 GOB (double de 351 l’envers de 153 triangulaire de 17 et père de 702), flip-flap de 720 fils de PI. Et comme C.HI.ER totalise 609 FOI, toutes les interprétations sont possibles.

CA.CO pèse 61 la fin de la voie, fils de 12 M, le père de 301 et de 304 COD. Mais le clystère n’aurait-il pas aussi pour signification de nous inciter à nettoyer les cerveaux ? Avec sa fleur de LYS au cœur de C-TER (trois fois C 3), le mot n’est pas anodin, mais très suggestif, capable de nous envoyer vers Virgile et sa colica du BU.
Au poids de 105 (père de 500 et 503), C.LY.ST.ER totalise 3461 la vie de 461 (premier de 89 HI et fils de 98 IH), ou bien vie et mort de 61 la fin de la voie, le fils de 772 devine 72, fille de 173 RC le fils de 35 CE (voir le lien CE.RC du cercle)Le Code est un Jeu à donner non seulement des céphalées, mais aussi la colique de BU 220, le devin du BOU 2020 !

L’ange couronné… Le personnage principal, qui prend presque toute la place sous la diagonale de la gravure, est un ange avec des ailes dont l’armature dessine un arc de cercle. Ce personnage est ambigu, on ne sait pas vraiment s’il est homme ou femme avec son manteau trop grand et ses longs cheveux blonds. Sa couronne de laurier célèbre sa victoire sur les Bucoliques de Virgile, sur son dauphin l’O vide, sur le Code du cercle représenté par un livre (désormais refermé), et un compas fait pour tracer des cercles.

L’ange semble un peu perdu, désabusé, voire triste d’avoir appris une Révélation qui détruit ses croyances, la révélation du Code qui confirme la création humaine de Yahweh, Dieu, Allah, autant que la supercherie de leurs prophètes (supercherie involontaire parce que leur but fondamental était d’offrir l’idée d’une transcendance à leurs ouailles trop crédules et incapables de prendre en charge leur destin d’êtres humains sans se mettre sous les ordres d’un guide). Iésus était l’I et l’Y, à la fois l’unité et le renouveau, et la liberté du choix, conjonction éminemment difficile à mettre en place, car tout renouveau tend à vouloir éliminer le passé, et demande un certain temps, donc une période de transition, pour se réaliser.

Sur son côté gauche, l’ange laisse pendre ce qui ressemble à une bourse (ou trois bourses, une par religion révélée ?), et un trousseau de clés. Un trousseau de 5 clés si l’on regarde les dents des clés, et de 6 clés si l’on compte les têtes. E et F, pour voir 5 et 6, mais aussi les opérations 11 L, 30 CO, 56 la moitié de l’AM, et 65 FE le fils de 13N, et la clef – entre autres – de 1130 ANO (fils de 250) et de la NEF…

L’ange repose sa tête sur son avant-bras gauche, poing fermé. Si nous regardons l’ourlet du manteau comme dessinant une bouche grimaçante, le poing comme un naseau, et si nous occultons l’œil droit du personnage, alors apparaît la tête d’un pauvre diable, sa couronne lui tombant sur les yeux, dévasté par sa disparition prochaine, concomitante avec celle de Dieu. Tout le monde ne le voit pas.

Le carré d’ordre 4… Un carré parmi tant d’évocations du cercle, comment ne pas penser à la quadrature du cercle ? Ce carré 4×4 (16 Q la voie de la fin est la mère de 79 GI et de 82 l’homme-dieu qui est aussi fille du 17 R de la Résurrection) n’a rien de magique, en dehors de la somme de ses nombres ligne par ligne, colonne par colonne, ou diagonale par diagonale, qui se monte à 34 CD la vie et la mort, tout comme le poids des 5 petits carrés de 2, et le poids d’IEU ... Anagramme de COD, OCD 034 est la mère de 162 et 165 (moitié de 330 fils de 67 premier de 19), du premier 139 NI et du carré 1156 LEF comprendre EF (L.EF totalise 67)… Le poids de ce carré d’ordre 4 est naturellement de 136 NF (4×34) la mère de 631 son envers, et du triangulaire 9316 ICQ un flip-flap de FIN.

Date et signature. La dernière ligne du carré s’écrit 4-15-14-1, où nous retrouvons aux extrêmes DA (Dürer Albrecht) et, au centre, 1514 PAD ou PO (Padus est, en latin, le fleuve PO), l’année de la composition de l’oeuvre. Mais cela ne serait qu’anecdotique si nous ne savions pas que DA 41 (l’envers d’O 14 le nombre de stations du chemin de croix) est le fils de 10 la voie d’O, et le père de 198 TH et 201 UA l’envers d’AU, du premier 179 RI (le copa.in d’IN) et du triangulaire 861 l’homme de la fin de la voie (fils de 192 fille de DO 40, et un flip-flap de MOI ou de IN.RI 1092)...

Dans ce jeu de Conjonction des Opposés (CO 30 ou 314), nous voyons bien 1514 PO rencontrer 1415 OP pour totaliser 2929 BIBI qui veut dire j’ai bu, quand Jésus criait SITIO j’ai soif, pour souligner le mot OP.PO. SITIO !

La signature de Dürer fait étrangement penser au dessin du nombre PI, une sorte de dolmen des druides celtes, avec son D dans l’A tronqué au sommet.

Toutes ces co-incidences, en dehors de toute considération artistique, alchimique, symbolique, nous amènent à conclure non seulement que Dürer était initié au Code, mais que son ange était victime de la désillusion de la Révélation : Jésus n’était pas exactement ce que le NT 1319 en disait dans le jour d’AIN 1913, fleuve alimenté par l’O de la source.

Certes,  devant le vide apparent du « rien » l’ange a refermé la bible explicative de ce Cod.O (318 CS double de PI) qu’il tutoyait depuis si longtemps avec son compas. Mais, si nous regardons bien ses yeux, ils regardent déjà au loin, au-dessus de l’horizon, esquissant un petit sourire, à la différence du jeune angelot bougon, les yeux tournés vers le bas, sinon fermés parce qu’il se serait endormi sur les nombres, à moins qu’il ne fut borgne, ou incapable d’avoir une vision… Et que regarde-t-il ? L’après Révélation, l’après Apocalypse, une autre danse que celle des dieux, capable de créer des liens entre les hommes… Car, entre NIL et NIHIL, il y a le mot HI 89 l’homme du renouveau, pour ouvrir les portes du Paradis sur terre, il n’y en a pas ailleurs Faites le pari du P.AR.AD.IS.US au total de 3082 COHB la vie du cycle de 82 l’homme-dieu, une anagramme de CHU, le double de 1541 permutation de 1514, la mère de 14’216 OBQ et 14’219 OBT une anagramme de BOT lu aussi 2019, tout ce que vous risquez sera une bonne surprise ! Pascal s’était peut-être bien trompé.

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