11.1 Une ENIGME

Aenigma était, en latin, un mystère, une allégorie obscure, une énigme… I, toujours en latin, était le chiffre 1 ou la lettre numéro 9, il est donc difficile de savoir lequel choisir a priori, entre le chiffre et le mot (la lettre), raison pour laquelle, souvent, celui qui lit te rature car il ne voit pas les choses du même point de vue que toi, qui connais le lac (le cul de cal), c’est normal.
Le “secret” est l’envers de “ter C es” tu es le trois fois C… Tu es le CCC (300 des chiffres romains ou 333 du Code), ou le 3 fois C 3, tu es le 9 I, le fils de 3 C… Il est donc tout à fait normal que, issu de 18 S la voie de l’homme (le double de I 9 et la moitié de 36 CF fille de 8 et de 9), on ait vu poindre un Dieu aux initiales IC 93, en l’an 753 de la fondation de Rome, mort 33 ans plus tard …

En tant que chiffre romain, I a voulu faire sa révolution parce qu’il en avait assez de ce manque de simplicité qui aurait pu faire de lui le copain de chacun des 6 autres nombres, qu’il aurait pu prendre par derrière : IM pour indiquer 999, ID (499), IC (99), IL (49), IX (9), IV (4). Mais les dictateurs de la pensée ne lui accordèrent que les deux derniers VX (code 2021), pour marteler qu’on ne fait avancer les choses qu’avec peine (latin VIX, l’envers de XIV notre 14 O) !

I AENIGMA donne une anagramme, en français du code, IMAGINE A la voie… Cette voie est toujours une énigme, malgré la voie du TAO de 1910 (ou l’A.IK la voie IK de Joseph Knecht, ludi magister du « Jeu des perles de verre » de H. Hesse qui voit A et IK totaliser 911 IL), fils de 434 DCD et père de 8’656 l’homme de FEF mère de BIBI le père de NET

Au poids de 48 la mort de l’homme, AE.NI.G.MA totalise 282 le dieu-homme-dieu, la fille de 57 EG, auquel se rajoute I9 pour lire I AENIGMA au total de 291 (fils de 58), et au poids de 57. L’énigme sera souvent levée par la scie qui découpe les mots, à l’instar de piscis (les poissons), qui deviennent pi scis, tu connais PI 159 la voie de l’espoir du neuf… Une belle coïncidence que le règne du Poisson commençant avec Iesus, et se terminant sous le couvert d’un hêtre ouvert à tous, à partir de 2015 UAE l’envers d’EAU (début du Verseau), de 2016 à 2022!

C’est ainsi que nous pouvons être amenés à comprendre l’invention du mot Iesus en le découpant comme I esus (sum), où esus sum est le participe passé du verbe EDO (manger, consumer, dévorer)… I je suis dévoré, consumé… Je suis I, l’unité et le renouveau, condamné à être mangé, dévoré comme un animal sacrifié (HO.ST.IA totalise 1990 TIO fille de 455 DEE la moitié de 910 et le fils de 97 IG fils du T 19)… Je suis I, le feu (i.gn.is 1640) de l’agneau (ag.ni 156 transcrit comme R.NI) de la passion (PA.SS.IO 2059 UEI l’envers d’IEU), ce feu de la passion du renouveau, qui dévore et qui consume… De cette passion nous retiendrons ce qui est écrit sur la croix du Christ : IN.RI 913.179 (anagramme numérique de CRIT 317919, car c’était écrit, pour nous renvoyer à Criton et au COQ de la mort de Socrate) au total de 1092, le double de 546 EDF et la moitié de 2’184 BSD (la fille de 491 DIA le premier de 94 ID et la fille de 103 le fils du 20, de 492 DIB la fille de 104 et une variation de 9204 IUD fille de 2019, et de 493 DIC).

Evidemment, Iesus sera trahi par le baiser humide de Iudas, tout simplement parce que I udas signifie tu mouilles I, mais aussi parce que I.UD.AS totalise 331 le premier de 67 (premier de 19 T premier de 8H fille de 2 B Dieu), le fils de 68, et le père de 1474 OGD et 1477 (quand 14 O est mère de 74 et de 77).

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