12. FRANCOIS RABELAIS (1483-1553).
A l’instar d’Homère pour le grec, de Virgile pour le latin, François Rabelais (initiales FR) est l’auteur qui a tenté, malgré le pouvoir destructeur de l’Eglise, de révéler le Code pour le français, au travers de ses « cinq livres » : Pantagruel, Gargantua, le Tiers-Livre, le Quart-Livre, et le Cinquième Livre.
Moine, médecin, écrivain, François Rabelais est né fils d’un avocat de Chinon, autour de 1483 peut-être, ou de 1494, on ne sait pas, il est mort en 1553 PEC, donc à l’âge de 60 ou 70 ans. Bénéficiant de l’enseignement médiéval du 3 et du 4, du trivium (grammaire, rhétorique, dialectique) et du quadrivium (arithmétique, géométrie, musique, astronomie), il devient novice, puis moine franciscain de 1511 à 1525, quand il reçoit l’autorisation du pape de passer chez les Bénédictins, ordre moins strict que le Franciscain ou le Dominicain (tous deux héros de l’Inquisition).
En 1516, en Angleterre, Thomas More publie Utopia, une île dont il invente le nom, et un système politique et social régi par les mathématiques, où tout est mesurable parce que seul le nombre garantit l’égalité. Les Utopiens disposent d’un nouveau langage, un alphabet latin codé, inventé par More.
En 1516, invité par le roi François Ier et sa mère Louise de Savoie, Leonardo da Vinci débarque au château d’Amboise, puis au château de Clos Lucé (anciennement château de CLOUX) où il résidera jusqu’à sa mort en 1519. Il était venu avec l’ensemble de ses carnets de notes et de ses croquis, et avec 3 de ses chefs d’oeuvre: “la Vierge, l’enfant Jésus et Sainte Anne”, le “Saint Jean Baptiste” et la Joconde. Pourquoi ces 3 chefs d’oeuvre précisément, et pourquoi seulement 3? Non pas parce qu’ils étaient les seuls invendus qui lui restaient, mais parce qu’ils étaient truffés des indices du message codé qu’il voulait transmettre. Dont le calcul d’AN.NA 113.131 l’envers de NACL, une lecture salée du CLAN et de 311113 CALAC ou CALN qui souligne CAL cul (à l’envers) de LN, ce qui tombe bien pour AN.NA au total de 244 (fille de 49 DI et 50 EO), double de 122 AY (fille de 570 EGO) moitié de 488 (fille de 103 et soeur de 491 DIA), la mère de 1110 ALO/LAO et de 1113 LN ou LAC, et du premier 1549 AEDI l’envers d’IDEA (les deux totalisent 11’000 le nombre de vierges si chères à l’histoire de cul d’Apollinaire). Le message de Rabelais, comme celui de da Vinci, voire celui de Nostradamus était le même, se méfier des prophètes (politiques ou religieux) dont la notoriété s’était établie sur des histoires fumeuses, pour donner foi à des histoires encore plus obscures sur le futur de l’humanité, racontées à des troupeaux qui ne comprenaient rien à “RI.IN” mais qui croyaient “TO.UT” savoir.
De 1528 à 1530, au cours de ses nombreux déplacements, Rabelais fréquente les universités de Bordeaux, Toulouse, Orléans, et Paris où il séjourne et prend l’habit de prêtre séculier après avoir, sans autorisation, quitté le froc bénédictin. Il a visiblement un problème avec les « Ordres ».
1530 : inscrit à la faculté de médecine de Montpellier, il est reçu bachelier la même année.
1532 : nommé médecin de l’Hôtel-Dieu de Lyon, il publie Pantagruel sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier…. 1533 : Pantagruel est condamné par la Sorbonne. Sa réputation de médecin lui vaut la protection de l’évêque de Paris, Jean Du Bellay, futur cardinal et l’oncle du poète Joachim du Bellay.
1534 : de janvier à mai, il accompagne Jean Du Bellay à Rome. À l’automne, il publie Gargantua, toujours sous le même pseudonyme. En Angleterre, Henry VIII divorce d’avec le pape, et crée la religion anglicane. Un an plus tard, en 1535 PCE fils de 345 CDE (Code) Thomas More est décapité parce qu’il s’opposait au roi, à son remariage, et surtout à sa décision d’être le chef de la nouvelle religion.
1535-1536 : second voyage de Rabelais à Rome, au cours duquel il obtient du pape son absolution pour avoir quitté le froc bénédictin.
1536 : il passe à Montpellier la licence et le doctorat, et va devenir l’un des premiers médecins du royaume, enseignant et exerçant la médecine à travers la France. Il pratique des dissections de cadavres, méthode d’observation encore peu pratiquée à l’époque.
1539 : ordonnance de Villers-Cotterêts promulguant le français langue nationale.
1543 : la Sorbonne condamne à nouveau Gargantua et Pantagruel. Rabelais est « maître des requêtes du Roi ». 1545 : il obtient un privilège de François Ier pour imprimer librement ses livres pendant dix ans.
1546 : Parution du Tiers Livre, où Rabelais a (apparemment) renoncé à la satire religieuse et aux violentes attaques contre la Sorbonne, qui condamne cependant l’ouvrage. Il se réfugie à Metz, où il devient médecin de la ville.
1547 : mort de François Ier le 31 mars, après celle, le 28 janvier, d’Henri VIII en Angleterre.
1550 : Rabelais obtient du roi Henri II un privilège pour la réimpression de ses ouvrages. 1551 : le cardinal Du Bellay lui fait attribuer la cure de St-Martin de Meudon, dont il peut toucher le bénéfice sans y séjourner complètement.
1552 : Parution du Quart Livre, immédiatement condamné par le Parlement.
1553 : mort de Rabelais à Paris. Son cinquième et dernier livre sera posthume.
Rabelais vit à une époque où l’Inquisition est encore bien active. Dès 1542 elle prendra même la forme de « l’inquisition romaine », celle qui condamnera, en 1600, le moine Giordano Bruno à être brûlé en place publique pour hérésie (il avait un problème avec la Trinité, le nombre 3).
Les ouvrages de Rabelais ont tous été condamnés par les théologiens de la Sorbonne, pourquoi ? Non pas parce qu’il évoque le dessous de la ceinture, mais parce qu’il se sert du cul et de la truculence pour parler d’un tabou religieux au travers d’histoires à peine compréhensibles, images du voyage du bateau Argo (11’770 en case 490 DIO mère de 2’173 BRC et de 2’176 BRF le dieu RF) au fil du Temps T, la création d’un langage qui a conduit à l’invention de Dieu et de Jésus, et qui sera véhiculé par un nouvel Argo.t (total 11789 – premier de 1413 ON le père de 6363 – qui montrait la révolutionnaire voie de 1789) …
Il se dit fervent partisan de l’« Évangélisme », un mouvement humaniste qui veut épurer la religion catholique, et s’oppose aux ambitions temporelles des papes. Il proclame la nécessité de prendre l’Écriture comme seul fondement du christianisme et d’abandonner les institutions créées par les hommes. Pour ce faire, dit-il, il faut étudier l’Écriture dans le texte original et procéder éventuellement à de nouvelles traductions et interprétations. Car, bien évidemment, une traduction est incapable de mettre en avant les ambiguïtés d’un texte qui serait un masque pour protéger le véritable message proposé par les auteurs (c’est le cas, par exemple, des Bucoliques de Virgile). On peut se poser la question : et si les “Saintes Ecritures” étaient codées, et n’expliquaient, finalement, qu’une énigme arithmétique, circulaire comme la Tour de Babel, pour instituer un nouveau langage, celui de l’amour et du partage dans l’unité, une nouvelle transcendance pour aider l’homme à passer du stade animal dans le troupeau à celui d’individu libre de faire ses choix, et volant au-dessus des dieux ? Bien sûr, à cette époque, à l’instar de Rabelais, je me serais bien gardé de dire de telles choses clairement, par mesure de sécurité (être traité de “con” nous savons que ce n’est pas grave si l’accusateur connaît la fille d’UB, la surface du cercle de rayon R, le nombre 908). Heureusement pour lui que ce Code était à la base d’une nouvelle langue en train de naître, au début du clivage entre catholiques et protestants, cela permit à Rabelais d’avoir la protection politique de François Ier, puis de Henri II, fort heureux de contester les religieux de la Sorbonne. Il faut dire qu’à cette époque où la France comptait peut-être dix millions d’habitants, à peine un quart parlait le français, les autres se contentant des patois et langues locales. Il était donc grand temps d’unifier le langage, ce à quoi François Ier s’attachera en imposant l’usage du français dans les actes officiels. Ainsi s’ouvrait devant Rabelais l’opportunité extraordinaire d’écrire dans cette nouvelle langue, mais toujours sous un masque, les signes du Code, de l’Arche d’Alliance. .
L’alphabet français… La mutation faisant passer de l’alphabet latin originel (23 lettres du Code) à la forme française actuelle s’est produite en une vingtaine d’années, un peu avant 1550. Premier frémissement en 1529, avec l’adoption du ç emprunté aux espagnols. En 1530 on adopte l’accent grave et l’accent aigu.
Les créations des lettres j (J) et u (U) ont été proposées entre l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) par laquelle François Ier imposait l’usage du français dans les actes officiels, et la publication du manifeste « Défense et illustration de la langue française », par Joachim du Bellay (cousin du cardinal), en 1549 AEDI (à l’origine de l’idea de la Plé.iade fondée en 1553 avec Pierre de Ronsard pour enrichir la langue et la littérature française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, et plus globalement enrichir la culture française par la redécouverte de la culture antique, de ses arts et de son savoir)… Dans l’ordre alphabétique, le j (J) a été placé à la suite du i (I), et le u (U) juste avant le v (V). Dans la pratique, l’intégration de ces deux lettres dans l’écriture s’est faite progressivement, en un siècle environ. La dernière actualisation de l’alphabet est beaucoup plus tardive : c’est en 1964 que Le Robert déclare la lettre w (W) « 26ème lettre française ».
RABELAIS ET LE CODE
Pour écrire ses deux premiers ouvrages, Rabelais prend un loup, un masque, une anagramme de son nom (Alcofribas Nasier). Parce qu’un médecin ne pouvait pas se permettre d’écrire des choses cochonnes sous son nom propre ? Ce serait une raison peu logique, compte tenu du fait qu’il pensait bien faire un petit effet pour sa renommée, et qu’il recommença pour son deuxième ouvrage. Il aurait, de toute façon, été découvert. Non, l’idée du masque et de la boucle (anagramme) est un premier indice de notre « abstracteur de quintessence » (l’essence du 5 pythagoricien) qu’il soulignera ainsi dans le prologue de Gargantua : Vous convient être sages, pour fleurer sentir et estimer ces beaux livres de haute graisse (truculents), légers au pourchas et hardis à la rencontre. Puis, par curieuse leçon et méditation fréquente, rompre l’os et sucer la substantifique moelle.
Oui, il faut être curieux, pratiquer le IEU de la question CUR, le pourquoi latin… C.UR 3.2017, au poids de 40, le père de 195 TE, totalise 2020 BOU ou VV, l’enfant de 460 la moitié de 920 IV… Le texte de Rabelais est une suite d’analogies qui évoquent la quadrature du cercle, le Code artisan de la lignée CA – PE– GOD – CACA (31-155-704-3131), lequel, tournant autour du nombre PI, devait naturellement relater des opérations de type pi.pi.ca.ca (total 380 CHO). Cela n’a échappé à personne, mais le Code, la substantifique moelle, a échappé à beaucoup. Il en est ainsi de ce qui suit : « Mais pour conclure, conclut Gargantua, je dis et je maintiens qu’il n’y a pas de meilleur torche-cul qu’un oison bien duveteux, pourvu qu’on lui tienne la tête entre les jambes. Croyez-m’en sur l’honneur, vous ressentez au trou du cul une volupté mirifique, tant à cause de la douceur de ce duvet qu’à cause de la bonne chaleur de l’oison qui se communique facilement du boyau du cul et des autres intestins jusqu’à se transmettre à la région du cœur et à celle du cerveau. Ne croyez pas que la béatitude des héros et des demi-dieux qui sont aux Champs Elysées tienne à leur asphodèle, à leur ambroisie ou à leur nectar comme disent les vieilles de par ici. Elle tient, selon mon opinion, à ce qu’ils se torchent le cul avec un oison… »
Si nous prenons, dans la grille du Code, la case 018 OS, nous y trouvons la fille 90 IO, pour faire le lien OS.IO (018.90) que nous prenons à cul, pour ne pas dire à rebours comme un calembour, et nous découvrirons OI.SO, un nombre N allongé derrière 09180, ou 09.810, pour lutter contre la gravité depuis IS.IS, et nous nous en torcherons le cul en disant CUI 3209 (le premier de 454 DED mère de 1984). Ainsi en allait-il de l’oison divin, expliquant à sa manière le langage des oiseaux qui prend les mots et les nombres à rebours, c’est lui qui est le « père mutation », prince des métamorphoses et roi du flip-flap, une figure de voltige si chère à la PAF 1516 (PQ).
On n’en attendait pas moins d’un auteur qui s’appelait Franc « OIS », dont les initiales FR 617 (somme 23, produit 102) étaient complétées par celles de son nom de plume (Alcofribas Nasier) AN 113 (somme 14, produit 13) pour totaliser, au poids de 37 (le premier de 12 mère de 61), le FR.AN 730 (l’envers de 37) qui est l’enfant de 161 QA. Pythagoricien, il se disait AQ 116 (le poids de Vergilius), Abstracteur de Quintessence, et il avait bien vu que FR.AN.C totalisait 733 devine 33, lui aussi fils de 161 QA, mais que FR.AN.CO pouvait atteindre 760 (le double de 380 CHO la vie d’HO, c’est chaud et c’est chou, et la moitié de 1520 un flip-flap d’EAU), ou 1044 AODD, le double de 522 EY la sœur d’ET, la fille de 230 (moitié de 460), et que FR.AN.CA révélait 761 une permutation de 617 FR. Effer, disait Virgile, avant l’arrivée du FR.AN.CA.IS 1679 (une variation de FAGI le hêtre, ou de FRI) le fils de 382 la vie de l’homme-dieu, la fille de 79 GI le premier de 22 Y, ce qui tombait bien pour la fille aînée de l’Eglise.
Rabelais écrivit 5 livres, deux avec un titre, et trois sans autre titre que leur numéro (Tiers Livre, Quart livre et le Cinquième livre posthume), soulignant 345 CDE anagramme du CODE et moitié de 690 FIO je suis élu, une permutation de FOI. Tout oison devenu intelligent par son passage au chaud comprendra le jeu entre 2 et 3, entre 32 et 23 pour lire 32.23 CYC, « EL CYC », qui cachait la somme 55 EE, moitié de 110 LO, et père de 268 et 271 l’envers d’ORB (poursuivant l’idée du cycle) et du triangulaire 1540 AEDO la voie d’EDO je mange, je consume, je révèle, une anagramme d’ADEO, à plus forte raison…
Les 2 livres ont pour titres Pantagruel et Gargantua, initiales P et G cachées derrière 157, la moitié de 314 le début du nombre PI, le fils de 33 CC, le père de 715, de 718 GS devine S la voie de l’homme, du premier 919 IT, et du triangulaire 12’403 M’DOC (belle coïncidence pour un médecin !) qui voit M et DOC totaliser 415 fils de 84 et 85, l’envers de COD’M…
D’un autre point de vue, P et G totalisent 22 Y le choix, image du Christ en croix, fille de 6 F et mère de 108 KH et de 111 AL ou LA, du premier 79 GI devine le renouveau, du triangulaire 253 BEC le dieu EC (pour saluer Badebec, la mère de Pantagruel), l’envers de CEB moitié de GOD, et du carré 484 la mort de 84…
PANTAGRUEL, titre du premier livre, tire son nom, comme le dit Rabelais lui-même, du grec panta qui veut dire tout, et de gruel, qui, en langage Hagarène, signifie altéré. Tout est altéré, rien ne va dans ce désordre où l’odeur elle-même est un indice (tel un index qui s’est mis dans la lumière), un pressentiment (celui d’une illusion ?). Nous avons au moins le pressentiment que Pantagruel est dans la position de Tityre et Meliboeus au début des Bucoliques de Virgile, faisant comme si ils étaient dans le monde tourmenté des proscriptions au temps d’Auguste, alors qu’ils nous parlaient du Code.
Le langage Hagarène est celui de Hagar (ou Agar, Genèse 12-13), l’esclave égyptienne d’Abraham qui lui donna un fils, Ismaël, sur les conseils de Sarah son épouse (laquelle enfantera ensuite Isaac). Une belle performance pour A.br.am (340 CDO), à 86 ans ! Mais peut-être faut-il voir dans ce 86 HF l’homme de la fin, le double de 43 (envers de 340) et la moitié de 0172 ORB (ce qui tombe bien pour Abram parti d’UR 2017 en Chaldée avec son peuple libéré), la mère de 418 (moitié de 836, double de 209 UI), et du premier 443 fils de 91 IA le renouveau de la voie, le premier de 13 N…Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons pas ignorer une approche biblique dans la lecture de Pantagruel, Pan T regula, Pan la loi du T, où P.AN totalise 128 MH une anagramme d’HOMO, un homme avec des pieds de BOU.C au total de 2023 BOZ !
Au poids de 109 (le père de 519 ET permutation de PI et TE) PA.NT.AG.RU.EL totalise 3’718 CGS (nous avons vu 718 fille de 157 fils de 33, mais aussi le total C.GS de 721 une variation de BR et père de 3’202 CUB l’envers de BUC qui nous offrira le bouc apocalyptique et la prophétesse BACBUC sur la route de la Dive Bouteille) la vie de celui qui devine la voie de l’homme, l’envers de HRC, le double de 1859 SEI, la mère de 93131 ICACA (ICNA anagramme de CAIN ou CANI, c’est IL 911 qui se tisse avec CC 33), de 17040 RODO la voie de GODO (une variation d’ODOR l’odeur, et d’ORDO l’ordre), et du triangulaire F.IN.FX 6.913.621 (total 1540 AEDO la voie d’EDO je mange, je consume, je révèle, le triangulaire de 55)… Ce triangulaire en forme de FIN de 621 (un enfant de 26, tout comme 126) nous oriente naturellement vers 621, son premier 4591 DEIA (anagramme d’IDEA ou de 1594 PID) le fils de 1024 double de 512, et son triangulaire 193’131 AICACA la voie d’ICACA fille de 3’718 qui nous fait revenir à Pantagruel… Nous pouvons donc bien nous montrer curieux des liens entre les livres sacrés, Pythagore, Virgile, et Rabelais.
GARGANTUA est le nom du deuxième livre. C’est le mari de Badebec avec lequel il a eu Pantagruel. Gargantua est aussi le fils de Grandgousier et de Gargamelle, mettant à l’honneur le nom des GA.R.GA 71.17.71 au poids de 33 et au total de 159 PI, ou G.AR.GA au total de 195 TE. Il est amusant de faire l’analogie avec la Gargaphie d’Ovide, la vallée consacrée à Diane, G.AR.GA.PH.IA au poids de 66 FF, mot transcrit 7.117.71.158.91 au total de 444 fille de 92 IB, mère de 1942 et de 1945 AIDE une permutation d’IDEA…
Au poids de 86 l’homme de la fin, G.AR.GA (195).NT.UA (1520 AEU anagramme d’EAU) totalise 1715 RP la voie de GP (Gargantua-Pantagruel), l’envers d’ERA le nombre, une permutation de PAG 1517 (voir le païen PAG.AN au total de 1630 QCO anagramme de COQ)… Naturellement, il ne sera pas faux de décomposer le géant en GA.R.GA.NT.UA au total de 1679 QGI, (fils de 382 CHB fils de 79 GI fils de 16 Q), une anagramme de FRI parce que c’est aussi le total de FR.AN.CA.IS, ou en GA.RG.AN.TU.A au total de 2282 YHB le choix de l’homme-dieu, la mère de 10507 (où l’on retrouve P et G), et du premier 20173 BORC (anagramme de CORBO et permutation de Z et RO) lu aussi URC. Qui l’eût CRU ? Le Code sera toujours vrai, quelle que soit la langue choisie, c’est une question de trou depuis qu’U est V, est T est AI… Quel truc de turc!
Pantagruel et Gargantua sont des géants (latin gigantes), évoquant les Titans de la guerre des dieux… GI.GA (150 PO) et NT.ES (1837), au total de 1987 AIHG le temps de l’homme de la divination, le frère de 1984, le fils de 454 DED (moitié de 908 la sœur d’IL 911) dont le premier est 3209 CUI la voie d’UI pour rappeler que nous sommes en train de voler avec les oiseaux, torcheculs ou non.
Au poids, Pantagruel (109) et Gargantua (86) totalisent 195 TE une altération de PI et TE, fils de 40 DO, père de 873 l’homme qui devine la vie, de 876 l’homme 76 qui devine la fin, du premier 1187 ASG comprendre l’homme de la divination, du triangulaire 19’110 AILO le Temps de LO (un cousin de L.OT 1430 la voie de DCO neveu d’Abram 340 CDO), et du carré 38025 CHOBE une permutation d’ECHU… Ne voyons-nous pas que DO 40 et TE 195 appellent 235 ZE l’envers de 532 la somme de N.ET pour que le total TE.N.ET 727 maîtrise 3223 CYC, de “cycle” ou de “cycnus”, comme le suggéraient les roues du char de P.HA.ET.ON 628 la fin du dieu-homme (double de 314) ou celles du carré Sator : sator arepo tenet opera rotas?
Par ailleurs, TE 195 (frère de 192 et variation de PI 159) étant le père de 876 l’homme GF, le double de 438 DCH (double de 219) et la moitié de 1752 REB (moitié de 3504 CEOD anagramme de CODE), il existe bien un lien entre PI et TE, le CODE, le nom BER, MOI 1209, et 76 l’envers de 67 le premier de 19, et flip-flap de 607 fils de 129 MI.
Pantagruel et Gargantua pèsent 195 TE, mais la somme de leurs mots découpés en tranches (3718 et 1715) se monte à 5433 ED.CC l’espoir de 433 premier de 84 et fils de 88, une anagramme de CODE.C, un fils de 1207 AUG une variation d’ORB et de 1208 MOH l’envers d’HOMO. C’est beau, pour un humaniste, de faire des calculs aussi justes cachés au derrière d’histoires truculentes, de cul et de tour de trou, parce que la VIE est le temps T qui passe entre deux trous… Et dire que 5 et 433 totalisent 438 DCH la mort de 38 CH la vie de l’homme, le double de 219, la mère de 1917 AIR/TR, de 1920 TU l’envers d’UT 2019, et du premier 3061 (fils de 689 FHI) l’envers de QOC l’envers de COQ ! C’est vraiment touchant.
Poussons le bouchon un peu plus loin en imaginant que la fouace, ce pain en forme de couronne cuit dans la cendre (un nuage obscur qui n’est donc pas très clair), dont le nom vient du latin focus, le feu, demandant toute notre concentration sur les motifs d’une passion sans flamme, est une manne qui a donné à Rabelais l’idée de la guerre des fouaciers de Lerné. Si je prononce fouachier pour marquer le rapport entre FOI 609 et C.HI.ER (total 609), et si Rabelais a choisi le bourg de Lerné (qui existait vraiment) personne ne s’étonnera de l’extraterrestre « ET » qui joue avec ERNEL, une permutation de Lerné depuis l’hydre de Lerne. Le jeu de Rabelais n’était pas plus innocent que celui de Nicolas Flamel et dame Pernelle, les maîtres de la Sorbonne le savaient bien, raison pour laquelle ils le mirent à l’index jusqu’à la fin de ses jours.
Si AIS 1918 la voie du renouveau de la voie de l’homme s’imagine comme la représentation du langage qui crée des liens entre les hommes, le mot RABEL.AIS se lit comme le langage (A.IS 1.918 au total de 919 IT) du retour d’Abel où R.AB.EL totalise 540 EDO je mange, je consume, je révèle, tout comme le phénix qui passait en Egypte tous les 540 ans, durée d’une semaine cosmique (un mois à 2160 ans, 12 mois à 25920 ans, à 20 ans de l’envers de DIEU 49520)… RABEL 540 est le double de 270 le dieu GO qui est l’envers de 720 GU fils de PI et double de 360, ce qui tombe bien pour EDO, une permutation de DOE 405 la somme du ZE.RO et le fils de 82 l’homme-dieu. ABEL se transcrit naturellement comme MEL 12511, cela dit pour rappeler que MEL IUE traduit Meliboe, le héros de Virgile, et que MELIEU le jeu de Mel, s’approche du MI.LI.EU (768 fille de 171 RA et double de 384), le jeu de MIL la voie du dieu IL (12.911 au total de 923 IZ, ou 129.11 au total de 140 ADO).
Au poids de 81, FR.AN.CO.IS totalise 1’678 QGH la voie de 678 la fin de la divination de l’homme, ou 1962 (double de 981), mère de 8911 HIL l’homme IL (le triangulaire de 133), et du premier 17021 ROBA (permutation de ROM ou ORBA, et fils de 03712 C’GAB une permutation de BRC et de CORB qui donnera naissance aux mots courbe et corbeau). Il n’est pas étonnant que le françois devenu français, au total de 1679 Q.GI (variation de FRI), soit le sabir des dieux, au moins depuis Achille ! Rabelais l’avait bien compris, et l’officialisation du français tombait « APIC » 11593 (premier de 1395 NIE fils de 314) l’envers de CIEL…
Au poids de 64 (envers de 460 mère du BOU), RA.BE.LA.IS totalise 1225 ABBE le carré de 35 CE, le quart de 4900 DIOO et le père de 5’490 EDIO j’ai mangé l’O (ED et IO totalisent 144 ADD). Oui, cet abbé avait bien maîtrisé notre jeu d’O, la substantifique moelle de ses 5 livres.
Au poids total de 145 ADE/OE (permutation d’EDO le DOE, et moitié de 290 BIO), François Rabelais totalise 2903 BIOC le dieu IO du C (fils de 651 FEA et premier de 420 DU), une variation de CUI 3209 et de ZOI (2309 le premier de 343 CDC le père de 1529 qui est à la fois la somme du CE.NT.RE et la voie de 0529 OEBI une anagramme d’OBEI l’envers d’IEU), le père de 13391 NCIA (l’œil d’Abel n’est jamais loin de Caïn 31913 !), ou totalise 3187 CSG la vie de 187 SG fils de 38 CH, le premier de 451 DEA (moitié de 902 IOB), une permutation du 3718 CGS de Pantagruel.
ALCOFRIBAS NASIER
François Rabelais a choisi comme anagramme de son nom Alcofribas Nasier, ce qui change ses totaux en AL.CO.FR.IB.AS 968 IFH (fille de 213 BAC dont le premier est NOC l’envers de CON) ou 1252 ABEB (permutation de 1225 Ra.be.la.is) qui voit A.BEB totaliser 253 BEC, mot qui servira à Badebec, et au faucon qui coupera BAD 214 et BEC 253 pour totaliser 467 le père de 2059 UEI l’envers d’IEU. C’est le jeu !
Avec NA.SI.ER 837, Alcofribas totalise 1805 SOE (frère de 1802 SOB l’envers de BOS/US, et fils de 412 DAB) la voie de l’homme OE, l’envers d’EOS l’Aurore, le père de 8192 HTB (qui formera le 5ème Parfait avec HTA), ou totalise 2089 UHI le dieu 089, le premier de 316 CQ variation de COQ et double de 158 PH, père de 9’533 IECC le renouveau de l’espoir en 33 CC, une coïncidence idéale pour le jour d’HUI qui voit IE.CC totaliser 00128 MH (double de 64) une anagramme d’HOMO qui permet de rappeler 8’128 HMH, le 4ème Parfait.
FR avait donc choisi une anagramme aux initiales AN, pour marquer le FR.AN 730, mais celle-ci est aussi un indice plus facile pour nous suggérer alcofribas, l’envers de sabir foc la, comme une anagramme de sabir falco… Il reste nasier à placer, cela n’engage ariens, faisons-le avec sabir falconis era qui nous dit : le nombre est le sabir du faucon, ou l’une de ses variations comme le nombre du faucon est le sabir. A l’époque de Rabelais, le mot sabir n’existait probablement pas, mais avec AL E, il faisait partie de son nom, et François avait bien vu que le mot SA.B.IR 181.2.917 la voie de l’homme MIR, totalisait 1100 LOO le renouveau de DG flip-flap de GOD, le père de 4940 DIDO (la fameuse princesse de Carthage amoureuse d’Enée), le fils de 241 (le premier de 53 EC le père de 259 l’envers d’IEU) … Et FA.LC.ON.IS totalisait 1105 LOE à 5 points du SABIR 1100 pour que le sabir du faucon totalise 2205 BUE (le destin de la dive bouteille!), la moitié de 4410 l’envers de 144 mère de 666 (le nombre d’homme de l’Apocalypse), le père de 10105 permutation de LOEO ou APO O … Coïncidence?
Naturellement FA.LC.ON.IS pouvait aussi totaliser 02505 BEOE pour que le nombre du sabir du faucon se monte à 3605 CFOE (le fils de 804 HOD fille de 181 SA) la moitié de 7210 une variation d’ORB.
Les deux options du sabir du faucon nous offrent donc la somme de 5810 l’envers d’OSE…
Selon le dictionnaire, que ce mot rejoindra trois siècles plus tard, un sabir est une langue de relation utilisée entre des locuteurs parlant des langues maternelles différentes mais placés devant la nécessité de communiquer, d’où l’emploi spécialisé de cette langue dans un domaine donné. On parle également de langue véhiculaire, il en est de même pour notre Code et de son langage des oiseaux, notamment véhiculé par « Argo T », incompréhensible pour le non-initié, à l’image du poème très obscur du Gargantua, chapitre II, « les Fanfreluches antidotées, trouvées en un monument antique ». C’est un chef-d’œuvre hermétique où la DO.TE 40.195 nous révèle 40 DO la mère de 195 TE (permutation de PI), une différence de 155 PE (père de GOA et de GOD, moitié de 310 l’envers de 130 NO), une ville des plus antiques d’Egypte, pour un total de 235 ZE / BCE (permutation de BEC moitié de GOD, et père de 1075 AOGE) moitié de 470 DGO, retrouvant un lien tout aussi antique entre Zeus et God …et LO 110 père de EZ, tout comme AL ou LA.
Mais l’autre DO.TE 414.195 totalise 609 FOI, le fils de 130 NO, et les bagatelles ou les bulles d’air farfelues (fanfreluches antidotées) de Rabelais sont capables de démonter la FOI par une incidence de 130 NO la voie de CO… Entre FOI et NO, une somme de 739 GCI devine la vie du renouveau, le premier de 131 NA, et une différence de 479 DGI (variation du s.ab.ir 947) la mort de GI (le J de Jésus), le premier de 92 IB le renouveau de Dieu, suffisent !
Le faucon tient son nom du latin fa.lx (1182 comprendre l’homme-dieu, double de 591), la faux (à l’opposé du vrai), à cause de son bec recourbé qui possède une sorte de dent à la mandibule supérieure, permettant de tuer plus facilement les proies. Le faucon est, naturellement, un chasseur, tout comme l’Homme à la recherche du Code est un chasseur d’astuces dans le découpage des mots et des nombres, un chasseur qui s’est lancé dans le décryptage du Code pour comprendre le sens du vrai « CON 3013 », le fils de 677 FGG le premier de 123 et la moitié de 1354 NED, le père de NI.OG 13907 et de NI.K 13910 (à une unité du NIL fils de 3014), et du carré 9078169, le con 30.13 dont le carré est approximativement égal à 908, la surface du cercle de rayon R (907,92) ! Aujourd’hui, on dirait un pilote de chasse, au langage aussi codé que le « bambini » des pilotes suisses, et cela tombait bien pour le 21ème leader de la PAF 1516 (Rabelais aurait dit PQ pour essuyer RS, la chose – je suis bien avec l’oison torchecul qui a vu 1 et 516 totaliser 517 ER, c’est une RE.LI.G.IO au total de 391 CIA (variation de NI) fille de 80 HO et mère de 1723 RZ l’envers de Z et RO qui totalisent 193, une anagramme de 301720 CORBO!), en 1984 (fille de 454 DED – moitié de 908 – dont le premier est 3209 CUI, comme disent les oiseaux)… Jusqu’au bout, je ramènerai tout à MOI 1209 et à mes anagrammes !
Sabir falconis era…
ERA 5171 est le nombre, à l’envers d’RP, mais aussi une ère, confusion qui a bien servi les prophètes puisque 5171 est le premier de 689 FHI la fin de l’homme du renouveau (le père de 3058 COEH anagramme d’ECHO, le double de 1529 AEBI, et 3061 COFA une variation de COQ, le fils de 150 PO).
Avec une découpe, toujours au poids de 23, E.RA totalise 176 RF (la mère de 774 et 777), les initiales du maître Rabelais François, double de 88 HH et moitié de 352 moitié de GOD 704. Bref, RF devait bien s’amuser, imaginant son oison torche-cul, et tout le reste, et C et ERA, pour mélanger C et FHI et RF en un seul mot comme CH.IF.FR qui totalise 751 le premier de 133 (la somme d’EC.HO 53.80) et l’envers de PG, Pantagruel et Gargantua.
Oui, il faut être un géant pour ingurgiter tout cela, sans faire une overdose, et nous pouvons également croire Abel Rais quand il nous dit que le nombre du faucon est un sabir. Vous serez naturellement d’accord, tant il est difficile de comprendre l’illisible pour qui ne peut pas se raccrocher à cette grille salvatrice qui est en même temps le cancer mangeur de foi, à l’instar de l’aigle du Caucas.us (où CA.UC.AS totalise 352 moitié de 704 GOD) qui dévorait le foie de Prométhée (fils de Japet, père de Deucalion et Pyrrha) avant sa délivrance par Hercule.
Si FR s’envoie en l’air, de même Alcofribas Nasier qui voit SA.BI.RF.OC.LA 500 et RE.IS.AN 1206 (double de 603 FOC) totaliser 1706 ROF, le retour du cycle de la fin, qui nous éclaire sur l’oison torchecul de RF (Rabelais François) 176, l’excellent nettoyeur de trou caché pour faire apparaître 1706 ROF dans le temps T, c’est trop fort pour un trouf !
ROF 1706 (double de 853 HEC le père du CHOC et du premier 6599 FEII la somme de I.es.us Ch.ri.st.us) est aussi AGOF la voie de GOF l’envers de FOG 607 le fils de 129 MI (et nous voyons A.GOF totaliser 707 GOG frère de GOD). Mais, quelle que soit son étiquette, 1706 est la mère de 7703 et 7706 devine GOF, du premier 14557 ADEEG l’envers de GEEDA et du triangulaire 145.6071 ADEFOGA l’envers de ROF.EDA… L’oison torchecul nous rappelle quelques cacata carta comme annales de VO.LU.SI (1509 anagramme de 159 PI), un mec qui mélange il et vous, quand 154 PD (double de 77) est mère de 703 et 706 GOF, quand 176 RF (double de 88 HH, 1+76=77) est mère de 774 et 777, et quand 1708 ROH le retour d’OH, ou la voie de GOH (1+708=709) est mère de 7709 devine GOI (7+709=716 l’envers d’FR) et 7712 devine GAB (7+712 = 719 GT/GAI l’envers d’IR), et fille de 388 CHH (moitié de 776 fille de 174 RD)… Où est l’ordre ?
FR 617 (moitié de 1234 pour rappeler la Tetractys pythagoricienne) nous permet d’imaginer un agencement du « IEU » qui nous transcende plus que les histoires de pets et de culs merdeux qui seraient prises au premier degré, et non comme un masque… Sinon, pourquoi Gargantua aurait-il eu 217 jeux, une ombre au nom BR qui rendit Gabriel/Djibril si universellement célèbre ? Pourquoi Pantagruel (descendant de Galehault, un ami de Lancelot du Lac) serait-il le numéro 62 depuis Adam, si 62 n’était pas l’envers de 26 mais aussi le double de 31, la mère de 310 l’envers d’ON, et de 313 CAC ? Pourquoi, dans Pantagruel, 123 livres (nombre ABC parfait pour de la lecture) et 69 bréviaires (anagramme de FOI, 69 est père de 340 CDO), soit un total de 192 ouvrages, sont mentionnés dans la librairie de St Victor (192 fille de 40 DO, mère de 861 l’homme de la fin de la voie, et permutation de 1092 la somme de IN.RI) ? Si VI.CT.OR ne totalisait pas 1945 AIDE (anagramme d’IDEA) fils de 444 fille de 92 IB, Rabelais aurait-il choisi de mentionner cette abbaye, surtout (latin adeo) sachant que VI était l’ASTRE de la VERITAS ? Victoire, VI c’était de l’OR ! Anciennement NI.KE, elle était 244 la déesse 44 mère de 219, la fille de 49 DI et 50 EO (qui totalisent 99 I bis), et la mère de 1110 ALO/LAO, de 1113 LN/LAC (le cul de cal, et de la belle LN), et du premier 1549 l’envers d’IDEA.
Rabelais mérite, de toute évidence (au moins pour qui a vu l’IEU d’EVI), et obtiendra un jour, une étude approfondie de son œuvre du point de vue du Code. Mais ce n’est pas notre rôle au jour d’HUI, son génie créateur du nouveau langage français est largement reconnu, même si tout le monde ignore la force inspiratrice du Code, sabir des dieux qui a échappé au très grand nombre de tous ceux restés à la truculence du verbe sans voir le vide créé par l’O du tru du cul. Depuis le combat des Muses et des Piérides, l’homme du trou PO préfère les romans conventionnels et les fables académiques des religions à la vérité du Code, seul à connaître le BI.EN 542 (le double de 271 envers d’RB), la mère de 2’403 le dieu DOC et du premier CIR 3917…
Rabel, envers de le bar, devrait être le héros national de la France, pays de vin, de la même façon que son animal devrait être le cerf, même si le coq blanc d’Hermès était l’indice majeur pour arriver à cette conclusion, et le fayard, le hêtre (fagus), son arbre. Mais le coq, avis cristatus, était asiatique, et un seul homme a vu le caractère divin de BOU (2020) et IL.LE (total 1026 – ille au poids de 36 est un dieu, disait Virgile dans BUC 1.7), qui totalisent 3046 COD.F le COD de la fin, moitié de 6092 la foi de Dieu, mère de 14033 ADOCC, de 14036 ADOCF la voie de 4036 DOC.F double de 2018 US, et du premier 27’917 le dieu GIR… Cet homme était un franc OIS (entendu comme AUIS, AVIS, famille de l’oison torchecul), à la recherche de la dive Bou.te.ille dont le mot secret était TR.IN.CH où IN.CH, au poids de 33, totalise 951 IEA l’envers de PI (inch 951 Allah 1130 totalise 2081 anagramme de BOS et US) …
TR.IN.CH, au poids de 69 FI, nous offre le total 2’868 la déesse 868 mère de CHEF (qui se réduit à 870 l’Homme GO), la mère de 13’240 NBDO (quand B.OU.TE.IL.LE totalise 1243), une anagramme de BOND (le lien anglais qui se lit aussi UND le ET allemand), et du premier 26’099 BFOII (la FOI au coeur de BI, qui nous rappelle 2’699 BFII le fils de 609 FOI), le fils de 5760 EGFO, – une anagramme de FEG 657 le père de BIBI j’ai bu le père de NET –, le fils de 1275 une permutation d’ORBE) où 26 et 099 totalisent 125 ME une variation d’EAU, pour remplir la dive bouteille. On trinque!
0 Comments